La planète n’a pas attendu IG-Farben pour balader
son taux de CO2 ; 200 ppm au carbonifère, 1600 ppm au trias, plus de 2000
à la fin du jurassique (à ces époques, il n’y a avait pas de corrélation entre CO2 et Tps). Le taux a atteint ses niveaux actuels à la fin du tertiaire. Plus récemment, montée brusque de 200 à 300 ppm
il y a 140.000 ans.
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Le problème de climatologie est qu’il reste un domaine exclusivement réservé aux professionnels. La plupart des pros sont payés par le système (GIEC, NOAA etc ...) pour raconter ce qu’on leur dit de raconter, dans la limite des subtilités qui échappent aux commun des mortels.La perversité du système est telle qu’il faut attendre qu’un chevalier des temps moderne, à la Jean-Pierre Petit, décide de sombrer dans les affres de l’inquisition moderne pour maintenir sa gueule ouverte (souvent de la confiture aux cochons puisque la populace se contrefout de la dissidence scientifique).
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Avant même de prendre position sur le réchauffement, force est de constater qu’il faut avoir une grande défiance envers la communauté scientifique, dans la mesure où elle reste au service du politique, quand ce n’est pas au service des lobbies industriels. Ecouter un scientifique aujourd’hui, c’est comme si on écoutait François Hollande parler de son prochain programme présidentiel. Tant que la populace ne fera pas l’effort d’acquérir un minimum de culture scientifique, la mafia scientifique continuera à les enfler jusqu’à la moelle, c’est dire qu’on n’a pas fini de se faire servir des couleuvres.