La prise de décision de nos politiques, concernant le sujet, reste néanmoins tributaire des avantages qu’ils tirent des multinationales, installées au plus haut niveau des administrations dirigeantes. Hormis les cadeaux, pots de vin ou avantages, les labos privés (spécialistes) confirment, par leurs rapports aux décideurs (Bruxelles par exemple), la nécessite d’utiliser ces produits "non néfastes". Résultat ?...Augmentation du pourcentage de cancer, malformations infantiles, aliments contaminés, ...etc.... Le chiffre d’affaire résultant de l’agriculture intensive devient prioritaire, bien au delà de la santé des masses. Scénario à l’échelle mondiale de l’histoire "Marie Besnard" l’empoisonneuse !