@Qaspard Delanuit
Il y a tout un panel de gens désemparés qui se jettent sur les premiers jésus qui passent pour citer Cabrel en pensant que ces messie 2.0 résoudront leurs soucis existentiels, le net n’est pas fréquenté que par des camionneurs adultes responsables et vaccinés mais est un accès libre à tous, y compris des gens, il y en a beaucoup, nous sommes chapions du monde en consommation d’antidépresseurs, pour rappel, et il y a des gens immatures, y compris chez les camionneurs de plus de 50 ans, j’ai connu un ingénieur qui s’est fait ruiner par une arnaque de côte d’ivoire, il s’est fait mougouter par une photo de princesse africaine, avant de comprendre un peu tard, que l’on ne l’y reprendrait plus, bref passons, Thierry ne s’adresse pas aux gens bien dans leur peaux mais aux innombrables qui ne le sont pas, vente de produits en comptant sur la faiblesse des autres, si vous êtes assez fort d’autres ne le sont pas, et c’est à eux que je pense en regardant ces vidéos basées sur une approche autodidacte (je n’ai rien contre quand la démarche est purement altruiste, ce qui n’est pas le cas ici) mais non scientifique et fondée sur des approximation à partir d’une expérience personnelle qui lui est propre, guérir du cancer en bouffant des ananas, j’ai lu le récit de cette personne, mais je ne suis pas certaine qu’elle réussisse à un nombre conséquent d’individus car il faut posséder le mental qui va avec et ça ne s’acquiert pas en viosionnant une vidéo youtube il y a une véritable démarche derrière qui prend des années et un savoir acquis en amont avant de prétendre pouvoir se lancer dans une démarche radicale d’amélioration de la qualité de vie, si Thierry l’a faite parce qu’il a dû survivre, encore faudrait il avoir des témoignages de gens qui l’ont connus pendant cette période pour en vérifier l’autheticité, en plus il était délinquant avant, je ne juge pas, mais bon, qui a bu boira comme dit le dicton, bref, il faudrait avoir d’autres sons de cloche pour pouvoir se faire une idée sur le chantre du vivre cru (stacé). Et les promesses n’engagent, comme toujours, que ceux qui les croient.