Il n’y a qu’une stratégie efficace vu l’inertie et les blocages administratifs pourris au plus haut niveau : l’obligation d’un étiquetage, pour les produits alimentaires issus de l’élevage ou des cultures, sans ambiguïté et bien visible, sur étiquette jaune indiquant le label
=> Produit sans OGM
Nos académies de médecine et celle des vétérinaires, après s’être prononcées, bien trop vite, sous l’influence de quelques décideurs suspects de conflits d’intérêts, contre la validité des travaux de G-E.Séralini, se retrouvent maintenant paralysées et dans le déni.
"Les grandes surfaces de vente de produit alimentaires" doivent prendre leur responsabilité et se souvenir que "le client est roi !" et même si possible l’afficher.
C’est à eux d’assurer la transparence et de dire bien clairement la vérité.
Ils doivent se donner les moyens de clarifier les choses aux yeux de leurs clients et cela malgré les pressions des lobbyistes. Leur responsabilité est engagée.
Après tout ils doivent cela à leurs clients et les associations de consommateurs devraient insister sur ce point.