"Parce
que si on accepte ça, il faut s’attendre à subir soi même tôt ou
tard l’arbitraire et les persécutions de ceux qui représentent
l’autorité
publique pour une raison ou pour une autre. Et quand ça
arrivera..."
Mais nous y sommes déjà ! L’état d’urgence n’est rien d’autre.