@Heimskringla
-Oui sauf que le national socialisme n’est
pas du fascisme et que l’on peut être national socialiste sans pour autant
l’être dans sa forme Hitlérienne.
------> Oui , je sais
bien , lorsque je parle du fascisme , je ne parle pas du fascisme Italien mais
du fascisme comme « catégorie politico-idéologique » auquel le
national-socialisme est apparenté.
-Surement ta fascination pour les guerriers. J’ai un peu le même
sentiment mais je déteste la forme. Eux c’est de la violence gratuite, de la
violence pour rien, on est niveau d’une baston d’alcooliques dans un café
pourri.
------> Je ne suis pas
du tout d’accord avec toi.
Déjà, la violence est un
outil qui fait partie intégrante de la
politique, donc sur ce point je ne leur ferais pas le reproche d’en user dans
le contexte révolutionnaire et sécessionniste Ukrainien.
Et surtout, des
alcooliques dans un café pourri n’auraient jamais pu réaliser ce qu’ils ont
accomplit sur Maidan , pour
rester stoïque et avancer comme ça sous les balles et offrir leur vies en
holocauste pour leur cause , comme je l’ai mentionné dans
l’article , ce sont des gens bien plus sérieux que ceux qui n’arrêtent pas
de jacasser de « révolution »
en occident.
Alors je connais bien les
arguments idiots et pathétiques comme ceux
de pégase qui consiste à réduire leurs actes à une simple manipulation de la
CIA mais c’est tellement grotesque que je n’ai même pas envie de répondre. Non
pas que je dis que les américains ne sont pas intervenus dans cette révolution
mais la réduire à cela est grotesque.
-Que préfères-tu Maq, celui qui veut te priver de pain au nom de la
liberté ou celui qui veut t’enlever ta liberté (assez relative) pour t’assurer
ton pain ?
------> Ni l’un, ni l’autre.
Le premier utilise la liberté comme un slogan pour me l’enlever (puisqu’il me
prive de mon pain) et le second se sert du pain pour me priver de ma liberté,
ce sont pour moi des hommes à combattre à mort.
Lorsqu’il y’a conflit, la vie ne vaut ce que nous sommes
capables de risquer pour elle. La vie sans liberté n’ayant pour moi aucun sens,
je préférerai la perdre plutôt que d’accepter la servitude.