@Fidol Castré
"quelqu’un a fait sauter (venant d’agoravox) le passage sur le diable que l’on regarde droit dans les yeux..."
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Logique, la très tri-monothéiste vision du diable comme l’élément néfaste absolu infestant les âmes est encore si répandue dans les poulaillers religieux qu’on se croirait encore au moyen-âge (et d’une certaine façon, on y est encore, y a qu’à suivre le fond de pensée d’une Nigari ou d’une Cathy). Pourtant, il suffit de lire l’analyse de Fulcanelli concernant N.D. de Paris pour comprendre que ce personnage, utilisé depuis la nuit des temps comme croquemitaine, est pourtant le seul détenteur de la clé qui permet de passer du noir au blanc. Il avait toute sa place dans l’analyse de cette musique, mais que veux-tu, la populace n’est pas prête de se séparer de 2000 ans de judéo-christianisme, bien qu’elle s’imagine en être débarassé depuis 1905