@Qaspard Delanuit
L’écrivain de science-fiction américain Philip K Dick, durant ses "transes" épileptiques, voyait se superposer le décor de la Rome Antique à la société américaine moderne, dont l’artificialité plastique n’était plus à ses yeux qu’un leurre, une sorte de décor instable visant à dissimuler au regard des esclaves le fait que "l’Empire n’a jamais pris fin".
Il était persuadé d’être un des premiers chrétiens des temps apostoliques, essayant d’échapper à la persécution romaine. Il ne s’agissait pas selon lui d’une réincarnation ou d’une répétition cyclique mais plutôt de deux présents situés au croisement d’une boucle temporelle. Sa personnalité antique s’adressait à lui en grec ancien - une langue qu’il prétendait ne jamais avoir apprise mais comprendre littéralement.
Bref, c’est hors-sujet... quoique...