@’Ma Caron
Respirez-mon cher, les points ce n’est pas fait pour rien... Mais vous évoquez ici une foi religieuse, une métaphysique, à laquelle je n’adhère pas.
Vous aviez dit : « L’homme est un animal qui vit dans un environnement sur qui la vie
s’étend partout, la nature ayant horreur du vide mais n’est pas
parfaite, occupe tous les milieux, l’intelligence dont on est tous
issus, de la moindre bactérie à nous, soit disant évolués, prévoit
d’engendrer une espèce capable d’étendre la vie au delà de notre pot de
terre périssable, elle a encore le temps puisqu’elle compte en milliards
d’années, nous comptons à l’échelle d’une vie humaine ou tout au plus
en quelques centaines de milliers d’années, pour les archéologues et les
anthropocentrés qui se regardent le nombril, l’homme n’est qu’une étape
qui évoluera probablement vers du bionique ou nanotechnologique, le
fameux humain augmenté et à terme, cyborg ou transhumanisme pour être
capable, quand il aura fini de jouer au con pour quelques dollars ou
euros, voire quelques territoires éphémères et fini de faire joujou avec
des idéologies de bac à sable comme les religions ou les régimes
politiques de transporter le vivant sur des terres habitables qui nous
semblent innatteignables en l’instant, comme il était inimaginable de
penser internet il y a quelques décennies, le téléphone portable il y a à
peine 30 ans, le moteur à explosion il y a 2 siècles, les avions les
vitesses de voyages, d’informations, de migrations et ainsi de suite,
voilà à quoi servent les animaux que nous sommes, à être des jardiniers
potentiels intersidéraux à terme, car la nature dont nous sommes issus
fonctionne sur le principe d’expansion et de survie. »