À Onecinikiou,
Internet existait si ! Il était toutefois plus confidentiel (tout le monde ne l’avait pas à l’époque), il était sobre, avec juste quelques dessins, aucune vidéos et on consultait tout ça hors connexion parce que le chargement des pages coûtaient déjà assez cher comme ça et que ça bloquait la ligne téléphonique.
Les réunions publiques n’étaient pas organisées par des partis mais par des associations citoyennes soucieuses d’aider au décryptage d’un texte d’abord diffusé par le Diplo, puis finalement officiellement à tout le monde.