@Nigari
" Oui, nous pouvons vous avancer que nous avons disposé le processus de manière que dans la première phase, les dirigeants de l’Etat affecté par notre intervention, ignorent l’origine de la manipulation de leurs cerveaux.
L’OEMMII affecté prend conscience de quelques altérations de son état mental qu’il attribue à des signaux de stress, épuisement anorexique, dépression, symptômes d’anxiété, de fugaces lipothymies suivies d’amnésie et des épisodes de courte durée qui vous rappelleraient, à vous, le syndrome de Ganser.
Les désordres seront si rapides que le gouvernant affecté, décidera certainement de les oublier ou feront l’objet d’une triviale consultation dans les cliniques spécialisées, qui probablement ne saisiront pas leur véritable pathogenèse.
Dans ces conditions, le libre arbitre est totalement annulé, et les modèles de décision seront soigneusement manipulés pour ne pas éveiller des soupçons chez les cadres gouvernants de rang inférieur."