Il est clair que l’avortement, qu’il soit chimique ou mécanique, est un traumatisme pour toutes celles qui le vivent, qu’elles soient ou pas catholiques et même si elles défendent le contraire.
Néanmoins, dans le contexte actuel c’est une alternative à réellement assumer les conséquences de la recherche du pur plaisir sexuel auquel nous poussent les médias, du sur-mesure pour le système d’exploitation des êtres humains.