Les agriculteurs, forcés de se diriger vers l’industrialisation, ne survivent qu’à coups de subventions bruxelloises. Le rapport des coûts de production/ventes est millimétré par les lobbyistes au pouvoir, dont Monsanto est le chef de projet. Il reste néanmoins des irréductibles "paysans" restant au service du moindre effort et contre l’agriculture alternative. J’en connais par contre, surtout chez les jeunes, qui prennent conscience que l’amour de la terre commence par le respect de celle-ci. C’est plus dur, mais tellement plus satisfaisant.