Bourré de tics (les haussements d’épaules continuels me rappellent Sarkozy) et de certitudes… pauvre garçon. En fait, son "polyamour" consiste à stocker des roues de secours au cas où sa copine – si elle existe, ce dont je doute – le quitterait ou décédait. Un cocu complaisant, quoi. Enfin, il faut bien que jeunesse se passe, mais il fait vraiment pitié, celui-là.