Asselineau est ravi de voir qu’il est écouté et qu’il commence à être influent. C’est bien. Il se pose en unique recours ce qui est moins bien. Ses chances de recueillir les 500 signatures sont faibles et celles d’être élu dans les conditions actuelles d’une élection le sont bien plus encore.
L’UPR doit persister là où il réussi si bien. Monsieur Asselineau doit par contre arrêter de vouloir saper les chances des autres alternatives, quitte à insister sur la nécessiter qu’elles s’engagent aussi sur un « frenchxit »