Si le message global de Grimaud est que l’ordre de l’univers (aussi bien dans la nature que dans l’homme) transparaît à travers certaines correspondances numériques exprimant un équilibre, je ne vois guère ce qu’on peut lui reprocher tant qu’il en reste à cette idée générale. Effectivement la disposition et le mouvement des sphères célestes, la forme des fleurs, les cristaux de neige, certaines oeuvres d’art particulièrement harmonieuses, bref de nombreuses observations révèlent un ordre cosmique dans lequel des proportions aux propriétés singulières semblent se répéter (comme le nombre d’or mais pas seulement). Mais dit-il seulement cela ou bien autre chose ?