@Laurent Fendt
Je réside en Amérique latine, c’est un peu un désert culturel, du correct en espagnol c’est difficile à trouver, du français n’en parlons pas.
Ce n’est pas le roman qui est en cause, la matière première est riche et permet de faire du riche.
Pour voir la vision de l’auteur vis à vis de la matière première, je suis obligé de me référencer à ses écrits. Dans le style complotiste il y a du factuel malheureusement noyé sous de la croyance. Dans les 35 pages que j’ai lu, j’y ai trouvé que du niveau croyance, des éléments qui sont les plus fragiles, les plus faciles à contrer avec un peu de bon sens et un peu de connaissances physiques.
Je me répète, longue vie au roman que je lirai avec plaisir. Je n’ai pas trop envie qu’il devienne une bible à gogos, c’est tout.