@attis
Personne n’a lu ces bouquins. Mais ils se permettent de juger, il attaquent la personne et nos les arguments.

Nous savons donc qu’il l’ouvre en permanence à tort et à travers sur des sujets qu’il ne maîtrise absolument pas. C’est qui ce nous ? Il est connu mondialement pour ces travaux c’est devenu une référence pour pas mal de gens. Ce nous, c’est dans le milieu sociologie/anthropologie ou le milieu piliers de comptoir ?

Maintenant, il y a peut-être quelques sujets qu’il maîtrise par ailleurs. Là on redescendent dans le monde normal mais ça reste du discours sans connaissance du sujet. Il ne prétend pas maitriser tout les sujets mais il se trouve que la grille de lecture qu’il a trouvé permet d’éclairer pas mal de sujets, il est normal qu’on lui demande un avis à la personne qui maitrise le mieux l’outil.

Cet un outil scientifique, la croyance et le scientifique ne s’accommode pas toujours. La croyance c’est des idées préconçues, la science c’est le doute et la remise en question perpétuelle, oui, pas trop compatible.

Chez moi sur les cartes d’identités, il est indiqué, blanco (15%), indio (70%) et negro (15%). Pour une étude sur le diabète pour une étudiante en médecine, j’ai récupéré la base génétique des caraïbes et américaine. C’est la population d’origine africaine qui est la plus sensible, 70% de la population.
C’est une réponse scientifique qui ne correspond pas à la croyance locale. J’y étais lors de l’oral de la thèse, parmi le jury il y avais des personnes que je connaissais avec qui j’ai discuté ensuite, malgré que le chiffre de 70% soit indéniable et que ce soit des scientifiques, il dérangeait un peu car il touchait une croyance raciale.
Cette réticence au factuel est plus importante dans le non scientifique.

Cela dit, si je suis d’accord avec la grille d’analyse de Todd, je ne suis pas toujours d’accord avec ses avis, mais la vidéo était plus axées sur sa grille d’analyse.