Bonjour,
Un rapide coup d’œil sur le profil de M. Potanine, dont cette fondation porte le nom, montre qu’il s’agit d’un opportuniste (ancien apparatchik ?) qui a su profiter de la Perestroïka pour faire fortune, et bien sûr appartenir au clan des millionnaires, grand bien lui fasse.
Alors qu’attendre d’une telle fondation, dont la directrice parle (en anglais, SVP !) d’une culture qui serait le pont entre deux pays : la France et la Russie ?
Un pont entre deux cultures par l’anglais...
Comme dirait l’autre, il vaut mieux entendre ça, que d’être sourd.
Cordialement.
Thierry Saladin