A l’école buissonnière, les devoirs ne sont que rarement faits. On sèche les cours de Droit, et c’est la droiture qui vole en éclat. Saluons Buisson (et son éditeur ? ) pour avoir trouvé la petite accroche pour vendre son dernier torchon et toute la clique merdiatique pour faire plonger le peuple dans un océan de mensonges.

Par ses accusations gravissimes il se désigne également comme celui qui s’est tu en sachant qu’un forfait* était commis (un peu à l’instar de Ferry qui n’a pas dénoncé les agissements d’un ministre poissé dans une partouze avec des mineurs).

"La cause du peuple" (un titre plein d’ironie) va se vendre, à n’en pas douter. Bien joué Pat-la-menace ! 

Sérieusement, une instruction devrait en toute logique être ouverte et les protagonistes (dont Buisson) interrogés, éventuellement mis en accusation si les révélations du buisson ardent sont confirmés. Le préfet, les responsables côté forces de l’ordre, etc. tous devraient être entendus pour vérifier ces allégations.

Les victimes de ces lynchages, vols et destructions matérielles devrait également porter plainte contre Sarko, Buisson et toute cette clique. 

Quant à la racaille, on a pu admirer une fois n’est pas coutume son courage sur la place des Invalides : des banales scènes de lynchages perpétrées par des "hordes de sauvages". La véracité de l’affirmation de la muse de sarko n’excuse en rien les agissements de ces individus qui attirent sur leurs personnes (et au-delà ... photocopions vite l’ordonnance : Padamalgam3000, oui il faut augmenter les doses pour ça agisse) une haine grandissante et dont certains ici même continuent d’excuser les agissements en mode "célapolice" (petite variante)

Racaille omniprésente chez les élites et racaille des rues s’entendent à merveille. La question de l’ennemi prioritaire semble hélas déjà tranchée pour les victimes du chiffon rouge. 

*Article 223-1 du CP : "Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende.".