Ah, ultime bafouille :
L’armée aux professionnels va dans le même sens que la politique aux professionnels. La logique est la même : sous couvert de libérer l’individu des moindres corvées (et il est le premier à applaudir), on lui retire par là-même tout pouvoir d’action. On le domestique donc davantage hors du lien armée-nation, ce qui n’est pas le moindre de nos (nombreux) paradoxes.
Voilà.
Et bien sûr, comme d’habitude, "vive Israël".