Quand vous savez, comme nous l’apprends l’avocat de Kerviel, qu’aucun magistrat qui ne sont plus sous Sarko et Lagarde - n’a souhaité écouter les enregistrements mettant en cause la société générale pour afin de l’assigner pour une très possible fraude de 2.5 milliards d’euros, comment voulez- qu’un politique envisage de réussir un projet de réforme bancaire quand l’appareil juridique est aux abonnés absents ?