C’est quand même léger comme critique et un petit peu partisan. Quant à prélever une phrase du discours de Mélenchon sur Castro pour expliquer un soutient inconditionnel à un dictateur là, de la part de l’auteur, c’est franchement malhonnête. Si c’est la tactique de l’UPR pour enfoncer des concurrents, m’étonne pas qu’ils soient si peu nombreux.