@Qaspard Delanuit
Quand je parle de vérités c’est au niveau des croyances.
Les mathématiques font partie des sciences dures, on ne parle pas de vérité mais de consensus et une science c’est vivant, ça évolue au contraire des croyances.

Pas trop de problèmes avec le monsieur, il est dans un domaine non scientifique, les sources n’auront pas trop la rigueur scientifique, elles ne seront pas prouvables et ce ne sera pas la preuve et le consensus, ce ne sera que de la croyance.
C’est pour cela qu’au dessus j’insiste pour dire que ce que je dis n’est qu’un avis et qu’il ne faut pas le prendre pour argent comptant.

Je ne demande jamais à me croire, j’essaie toujours que les gens testent par eux même. Pas assez employé l’exemple de l’envie de chier mais ça correspond assez bien au problème.

Il y a une autre version plus sage : Je peu faire tout les discours même les plus subtils sur le gout de la fraise, ça me remplacera jamais l’expérience de la gouter soi-même, là on connaitra la quintessence du gout de la fraise.

J’ai un ami qui a un ashram, il appréciait ce coté parfois iconoclaste, il m’invitait de temps en temps.
Il y a des mots ou des phrases qui peuvent s’accrocher à des restes d’attachements, si c’est assez lisse ça n’accroche pas.
Les réactions lors des discussions permettent de parler de ses points de résistance, la discussion en elle même n’était que du bruit fait avec des bouches.
La discussion c’est l’extérieur, il y a de grandes chances que la réponse ne soit pas à l’extérieur. Les points d’accrochages concernent l’intérieur, la personne, tout ce que l’on peut faire c’est montrer où ça accroche à la personne, ensuite la balle est dans son camp. On montre la direction des chiottes, on peut ne pas en faire plus.