Le style Jorion : :
https://postjorion.wordpress.com/2010/06/29/109-jorion-est-il-meilleur-philosophe-queconomiste/
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« En outre, la structure du livre est
extrêmement brouillonne, et souffre d’une quasi-absence de
construction, similaire à un patchwork géant nuisant in fine à la bonne
intelligibilité de l’ensemble. »
« Cette mécompréhension de Paul Jorion à
l’égard de l’esprit philosophique du temps constitue un indice assez
inquiétant de sa (mé)connaissance du champ philosophique et inaugure un
nombre non négligeable d’erreurs et d’approximations philosophiques
qui constitueront, elles, le véritable scandale du livre. »
« L’ouvrage souffre en outre d’une très
grande lacune philosophique ; l’auteur asserte beaucoup mais justifie
peu ; bien des affirmations se trouvent ainsi lancées d’un ton
péremptoire, sans que l’on ne voie vraiment à quelle réalité
philosophique cela correspond. »
« Bon nombre de phrases s’avèrent
quasiment indécidables quant au sens à leur attribuer, tant la syntaxe
se présente comme ambiguë et laborieuse, ce qui rend la lecture de
l’ouvrage particulièrement pénible. »
« Le ton de l’ouvrage, ainsi que
je l’avais brièvement évoqué en première partie, s’avère
particulièrement pénible. Jorion traite avec mépris et condescendance
un certain nombre de thèses et d’auteurs dont en réalité il ne perçoit
pas tout à fait la profondeur. »
« Le problème est moins la thèse que
défend Jorion que l’absence totale de démonstration d’un tel présupposé
qui heurte radicalement tout ce qu’affirme la physique depuis 80 ans,
et qui, faute de cette démonstration, se présente comme une pure
assertion péremptoire. »
« Hélas, la subtilité de quelques
analyses n’efface guère le trop grand nombre d’erreurs philosophiques
majeures, d’approximations logiques, de propos confus, de paragraphes
mal enchaînés, ou d’affirmations péremptoires auxquelles manque une
justification véritable. «
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