Pour conclure, je dirais que tant que l’on n’aura pas corriger notre mode de formation des élites et rompu avec notre culture de l’administration, des statuts sociaux et de la hiérarchie (en Allemagne, un ouvrier qui propose une bonne idée est entendu, en France on lui fait comprendre qu’il est un ouvrier, donc pas qualifié pour donner son avis) il sera inutile de parler de souveraineté.
Or, même Asselineau colporte cette culture paternaliste commune aux hauts fonctionnaires et aux grands patrons.