Après les massacres du 11 septembre 2001 aux USA, de Madrid en 2004,
de Londres en 2005, de l’école juive de Toulouse, de Charlie Hebdo, du magasin
cacher de Vincennes, du Bataclan, de Nice, de Saint Étienne du Rouvray... pour
ne parler que des plus connus perpétrés "en Occident" ces dernières
décennies, les "maîtres penseurs" aux pouvoirs politiques et
médiatiques répètent à l’infini qu’il est inutile d’aller voir dans la
théologie de l’islam s’il y a des éléments permettant de penser que les
assassins ont été, comme ils l’ont crié
en tuant, inspirés par leur Dieu Allah.
Les maîtres penseurs désignent même comme coupables des
crimes commis ceux qui refusent de s’accrocher à l’idée reçue, proclamée et
consolidée par eux à tout instant, selon laquelle "l’slam n’est pas dangereux". Ils tiennent à ce qu’on en reste
à la laïcité sacralisée dans sa
conception de 1905.
L’église catholique sait parfaitement que sa propre
théologie contient des éléments alimentant la très directement criminogène
théologie islamique. Elle ne veut pas qu’on y touche et fait donc corps, sur
ce point, avec ses pires ennemis athées.
J’attends de Michel Onfray, selon moi le plus apte à le faire bien, qu’il
dépasse un peu son athéologie et qu’il s’attaque de front au grand mensonge néo-négationniste et à la ravageuse tricherie
éxégétique :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/detruire-la-tricherie-exegetique-187081