C’est sûr, c’est pas Mélenchon qui s’abaisserait à ces turpitudes :
.
Un modèle de probité selon ses partisans, l’honnêteté incarnée, l’insoumission
- 1998 : . A l’époque, il est chargé de
l’information et de la communication au conseil général. Il passe
commande d’une campagne de relations presse pour vanter les mérites de
la Fête de la République à Euro RSCG, l’agence amie des socialistes, que
dirigent Jacques Séguéla et Stéphane Fouks. Eh bien, ces 7 journées
d’attachée de presse ont coûté 98.972 francs, soit 19.329 euros au
conseil général ! Un beau cadeau aux copains.
1998 : Melenchon via le Conseil Général de l’Essonne
fait une commande publique de 18.489 euros à la société Eventissimo
pour « conception » artistique d’une carte de vœux, mais sans la
fabrication ni l’impression. Près de 20 000 euros juste pour concevoir
une carte de voeux
Qui était la Patronne d’Eventissimo ? Isabelle Thomas, l’égérie du
mouvement étudiant de 1986 contre la loi Devaquet, et animatrice l’aile
gauche du PS avec Jean-Luc Mélenchon
- 1998 : Sa fille est embauché comme agent
administratif à la mairie de Viry-Châtillon dans l’Essonne, le maire de
la ville se nomme Gabriel Amard, c’est non seulement un fidèle
lieutenant de Melenchon mais c’est aussi son gendre, douce coïncidence
- entre 2000 et 2002 : lorsqu’il était devenu
ministre délégué à l’Enseignement professionnel, il n’a quasiment
jamais plus mis les pieds au Conseil général. Mais plutôt que de
démissionner, il a continué à percevoir une indemnité de 2.300 euros par
mois. Au total, c’est 57.500 euros d’argent public qu’a perçu le
conseiller fantôme.
Avril à Juin 2004 : Il utilise pendant trois mois
un véhicule avec chauffeur du conseil général. Or il n’y avait plus
droit puisqu’il n’était plus au Conseil général. Cela s’apparente à un
détournement de fonds public dont il a bénéficié, lui, et personne
d’autre. Chrisitan Schoettl a porté plainte ce qui a conduit le
procureur de la République à lui signifier un rappel à la loi sous la
forme d’un avertissement solennel.
- Décembre 2009 : il fait de nouveau embaucher sa
fille au conseil général de l’Essonne, sans respecter les critères de
partialité et sans publier d’offre, quelle chance pour sa fille, deux
emplois grâce à Papa