Il n’y a aucune raison technique d’abandonner le vote local et manuel pour le vote numérique, en dehors de créer la possibilité de fraude au niveau central.
Le système actuel est très au point, tout est signé, compté, recompté, les registres, bulletins, tableaux en double conservés au niveau de chaque urne, de chaque bureau, de chaque commune, de chaque canton, de chaque préfecture.
Il est impossible de changer les résultats au niveau national sans qu’une erreur apparaisse, et avec les archives physiques il est facile de vérifier et de recompter.