L’exemple du nucléaire est inepte. Etre pour ou contre est le produit de deux perceptions incompatibles du bien commun.
Les uns retiennent les avantages du nucléaire, les autres ont une peur viscérale de la catastrophe. Ils sniffent du Tchernobyl le matin, et chiquent du Fukushima l’après-midi
Et il y a gros à parier qu’au terme de la convention citoyenne, 13 participants sur 15, avaient la même opinion é la fin qu’en y entrant, les deux autres ayant finalement cédé à la trouille distillée par les "anti".