@Qiroreur
« J’ai regardé un JT hier (j’ai
pas eu le choix), 100% du reportage a été consacré à la casse. Ca ne sert à
rien c’est évident. Par contre on comprend bien qui ça dessert, ma question, la
question ardicon comme dirait les complos [Musique angoissante], "mais à qui profite le crime ?" »
Excellente
question, à laquelle il est bien difficile de répondre, si l’on songe que la
perturbation, par des casseurs, des manifestations de la « contestation à
95 % pacifique » remonte, grosso modo, aux années 90.
Cela veut
dire que, depuis plus de vingt ans, la « contestation à 95 % pacifique »
continue imperturbablement à organiser des grands rassemblements, en sachant qu’ils
seront systématiquement « desservis » (c’est votre verbe, je ne le
cautionne pas) par des éléments violents, sans être capable, par exemple, d’organiser
un système de filtrage des individus mal intentionnés – quelques à
chaque fois, nous dit-on – qui tentent de se glisser dans les cortèges.
On ne me fera
pas croire que, parmi les « contestataires à 95 % pacifiques », il n’y a que des
rachitiques, à la morphologie de bouteille de Coca-Cola (épaules tombantes,
abdomen proéminent), et au cerveau brouillé par des doses massives de tétrahydrocannabinol (THC).
Trois termes
peuvent donc servir à définir cette persévérance à offrir un cadre favorable
aux déchaînements de la violence des blacks bloc et assimilés : la connivence,
le masochisme et la bêtise.
Et si les casseurs étaient à 100 % des provocateurs manipulés par l’état-major
du complot américano-sionisto-financiaro-militaro-industriel, force serait d’admettre,
eu égard à leur passivité face aux violents, que les « contestataires à 95
% pacifiques » – qui servent la soupe aux casseurs depuis un quart de
siècle, disons les choses comme elles sont – sont eux-mêmes des marionnettes
des comploteurs. Pourquoi pas après tout ?