On dit toujours que la main qui donne est au dessus de la
main qui reçoit mais ce n’est pas si simple : quand on investit dans un
politicien sans avoir l’habilité d’obtenir une garantie de retour sur investissement,
il n’y a aucune certitude que ce politicien renvoie l’ascenseur le moment venu.
Ça me fait penser à François de Grossouvre , l’industriel qui
a joué un rôle clé pour le financement des campagnes de François Mitterrand. Une fois élu, Mitterrand va le nommer à l’Elysée mais va le lâcher progressivement à un tel point que le pauvre homme qui était
complètement dingue de Mitterrand va finir par se suicider.
Ce n’est pas trop le genre
de Robert Bourgi : lui, il dégaine !