"Pour revenir au brave Léonardo, tout cela aide à comprendre sa
versatilité, son inconstance et sa liberté d’esprit et de coeur qui le
poussaient sur les routes de l’exil. La France et surtout François 1er
su l’honorer, une France noble d’un autre temps."
Attention Miona, cette rage ne vous est pas destinée, je conteste ce que l’on fait de la culture dans ce monde de la finance qui n’entend rien à l’art...sinon qu’il est capable, ce monde, de fausser le beau, le vrai et le bien en donnant à des croûtes une importance qu’elles n’ont pas, cela depuis le début du XXe siècle. La vie et l’observation m’apprennent l’insurrection et la critique. Les bobos de gauche et de droite qui se ressemblent temps me fatiguent.