• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile


En réponse à :


vote
Heimskringla Heimskringla 1er août 2017 12:46

@Semi Kebab

Je préfère un autoritarisme soft à un totalitarisme soft. 

Je comprends ta vision et je suis d’accord avec toi, le culte du chef, les pins, les grands drapeaux je ne suis pas fan non plus mais qui a dit que cela devait être comme ça ? 

En quoi le national socialisme (on va appeler un chat un chat) ne pourrait-il-pas évoluer ? 

C’est un sujet complexe dans le sens ou je pense que notre perception est biaisée par notre environnement très disons libertaire mais qui est un peu illusoire. 

J’aime bien le système état nation sur un territoire donné comme le national socialisme mais je ne vois pas en quoi les pin’s, les drapeaux seraient encore obligatoire ainsi que le culte du chef qui pour une question stratégique et de développement on va dire personnel est quelque chose de dépassé. 

Faut surtout avoir un psyché de croyant pour vouer un culte au chef mais bon même ça aussi c’est un sujet complexe, on peut le voir avec Poutine, si on a des gens de qualités, des personnes vont se démarquer et se mettre naturellement en chef de file. 

Que des gens vous trouvent génial ou que sais je bin c’est peut être triste mais c’est comme ça. C’est les gens quoi, ils ont besoin d’une star pour donner un sens à leur vie. Dangereux cette haine du "chef" car celui qui pourrait avoir de bonnes idées pour aller de l’avant (même si ça finit toujours mal lol) n’osera plus rien dire de peur de faire appeler Hitler (c’est déjà le cas). 

Je préfère des sages de l’ombre et les réseaux au culte du chef (même si il est peut être le nécessaire le temps d’un moment). Dans ma vision du national socialisme j’en ai rien à foutre du chef, je pense surtout au contrôle de ton histoire, du bien commun, de ceux qui s’identifient encore à un peuple (sujet à développe je trouve), un territoire, des traditions sans pour autant en faire quelque chose de caricatural, trouver l’équilibre...

Mais il est possible de s’inspirer. Je trouve que c’est une bonne base pour le "tout est possible" et d’une certaine manière, c’est du vrai progressisme tout en ayant conscience des fondamentaux du réel (l’ordre naturel qui va bien avec l’Europe en fait), de ce que nous sommes, si on envie de se dire en tant qu’un individu qu’on est aussi le fruit d’une histoire et qu’on a envie de la respecter car pour ma part je pense que la conception de l’individu qui est libéré de toute emprise, l’individu émancipé dans l’immensité de l’universel est un mythe plus ou moins équivalent à un film de superman.

Je pense qu’il faut donner un "cadre" donc un certain conformisme de base pour que l’individu devienne ce qu’il doit devenir c’est à dire une singularité et non pas un consommateur qui n’est dans le fond personne alors que cette société lui fait croire l’inverse. 

Faut se poser les bonnes questions, pourquoi l’ancien monde a donné autant de grand talent alors que cette époque qui ne cesse de faire l’apologie de l’individu contre le grand méchant état totalitaire (Suffit voir le nombre de films et séries sur ce thème) ne sort quasi plus aucun grand talent ?

Ces concepts de "liberté", des phrases genre "il faut aller au bout de tes rêves" comme ci tu étais unique et destiné à sauver le monde fait plus de mal aux gens que de bien. 

Faut quasi de te dire d’abord que tu es merde avant de penser pouvoir progresser, c’est le point de départ. 

Ici, on vend du rêve comme ci tout était du, sans aucun effort, aucune souffrance, aucune discipline, non impossible de devenir une singularité bien dans ses jambes sans cette part la de la vie qui te fera EN PLUS prendre bien mieux conscience de la chance de vivre. 

Super pour faire des ego de merde surdimensionné vaniteux, les pires alors que le salut du vivre ensemble passe par une part de sacrifice donc d’une part très humble de l’individu. 

Désolé mais c’est tout l’inverse aujourd’hui.

“Le plus libre de tous les hommes est celui qui peut-être libre dans l’esclavage même.” Fénelon

"Kierkegaard définit la condition humaine comme une existence aux prises avec le pathétique violent de la liberté. Etre homme, c’est me sentir tragiquement en proie à une angoissante “possibilité de pouvoir”, nul ne pouvant endosser la responsabilité de mes actes. Cette angoisse génère un vertige, celui d’une liberté mal assumée." ?

Après peut être que tout ça ne veut plus rien dire, l’état, la nation, son histoire, ses traditions sauf que moi j’ai l’impression d’être lié encore a quelque chose, à des endroits, a une histoire, ils n’ont pas réussi à faire de moi un homme nouveau et ce peut être, pour mon plus grand malheur. Bref difficile à expliquer

Le Judéo liberalisme libertaire est la thèse, le NS "aryen"l’antithèse, reste plus qu’à trouver la conclusion ou en avoir rien foutre et voir ce qui se passe. Tout est possible, sorte d’anarchisme qui joue avec les limites du chaos, la fin du monde ect bref wait and see. 

Veuillez excuser les fautes et la syntaxe de mon humble niveau de victime du nivellement par le bas, je travail la dessus (merci mon petit fascisme intérieur personnel mdr). 




Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON