Dès que je vois Barbier commencer à pérorer devant les caméras où il est fréquemment convié, je zappe illico tant son discours est prévisible et orienté.
Petit soldat de l’ultralibéralisme, il assume sans honte la contradiction d’’être aussi un assisté de l’argent public, comme une grande partie de la presse mainstream possédée par des milliardaires. Un comble ! Un escroquerie.