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jack Mandon jack Mandon 16 août 2017 23:28

@kabouli

Vous ajoutez des couches.

Le sujet traité par Francis Cousin à travers Debord, dépasse le personnage analysé : « L’intellectuel et le penseur. »

L’intellectuel pour F. Cousin est dans une imposture narcissique personnelle, il congèle la pensée, développe sa bibliothèque, réunit quelques livres pour en écrire un « nouveau » d’où l’imposture. Le penseur, selon F.C. est créatif, il épouse la naturalité cosmique. Il est l’humble réceptacle d’infini, conscient, il n’en tire aucune gloire. Sa réceptivité s’ouvre au vivant, à l’inconnu, à l’originalité. C’est pour lui un privilège fugace, pour un temps variable, il est inspiré. Les artistes les plus doués connaissent sans doute assez fréquemment ce merveilleux état de conscience. F.C. focalise ce privilège sur Debord. En ce qui vous concerne vous montrez du doigt le faussaire, soulignant la zone d’ombre au paroxysme du néant. Il me semble que la vérité se situe entre les deux états de conscience pour l’humaine condition avec des nuances variables pour chacun de nous.




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