Le titre suggère une faute scientifique disant que l’engin —« virtuel »
parce que ne pouvant être pour l’instant
que conceptuellement— ne dépasse en aucun cas au point de vue vitesse de son
propre mouvement la célérité de la lumière.
La théorie sous-jacente à la conception de cet engin indique
que :
__ Des innovations à venir en matériaux de sa réalisation
capable de résister aux effets de torsion de l’espace-temps d’un côté.
__Et de l’autre,via une maîtrise parfaite d’une énergie
colossale de pulsion exactement dirigée et capable de par sa masse gigantesque
de tordre justement en plusieurs points d’application l’espace-temps.
Alors la trajectoire vers la destination fixée est comprimée
pour permettre le déploiement d’avancée de l’engin.
L’espace-temps étant élastique, de par l’effet de sa
courbure gigantesque ainsi effectuée, il fait alors projeter l’engin en avant de
point de courbure à un autre, jusqu’à destination. L’engin est transporté en
quelque sorte dans une bulle de champ d’espace-temps. L’engin n’est pas mû par
une vitesse supérieure à celle de la lumière, mais se trouve comprimant l’espace-temps
qui en est réduit de plusieurs années-lumière proportionnellement à l’immensité
de la densité de masse créée par le déploiement de l’engin et l’étendue de la
courbure provoquée.
Pour l’instant, c’est purement de la fiction
___bien qu’au point de vue physique et astrophysique théoriques,
ça se tient puisqu’il n’est constaté dans cet édifice aucune atteinte aux lois
scientifiques reconnues pour l’instant.
__ Par contre du point de vue ingénierie conceptuelle de l’engin
et de la force qui doit le mouvoir par la création d’une compression de
portions de l’espace-temps, le niveau est à un degré non pas nul mais
insignifiant pour l’instant.
Peut-être que dans 300 à 400 ans dans l’hypothèse de continuité
d’existence de l’humanité, la technologie aura fait des progrés immenses
permettant de s’attteler sérieusement à cette aventure gigantesque d’action de
compression de l’espace-temps cosmique.