Pauvre France.
La France est sérieusement malade et profondément dépressive. Il ya quelque jours Sputnik publiait un article ; pourquoi les exorcistes ont la côte en France ?.
" Ces derniers temps, la France semble enregistrer une
hausse des demandes d’exorcisme. Comme l’explique à
Sputnik un guérisseur, la raison réside dans la dépression
qui gagne du terrain au sein de la société et pousse les
gens à nuire aux autres.
« En ce moment, tout le monde est en
dépression, les gens font du mal aux gens… Je ne sais pas
ce qui se passe », témoigne dans son commentaire à Sputnik
André Berton, guérisseur et exorciste qui exerce depuis
une bonne soixantaine d’années ce qu’il définit comme la
mission que Dieu lui a donnée.
Il dit avoir découvert son don en 1953, alors qu’il était
militaire. « J’avais des copains plein d’acné. Un jour,
j’ai eu l’idée de mettre ma main sur un de mes copains.
Huit jours après, il me dit "mes boutons sèchent !" Alors
je remets ma main et au bout de trois semaines, il n’y
avait presque plus rien ».
André Breton assure que pour lui ce don n’est point un
poids, mais une passion. « Autrement, je ne ferai pas ça »,
relate-t-il, confiant qu’ il était d’abord guérisseur et
que ce n’est que dans les années 80 qu’il est devenu
désenvoûteur.
Interrogé sur ses clients, il confie que la plupart
d’entre( les Francais ) eux sont des malades : « Soit ils ont mal au genou,
à l’estomac, les pieds, ils ne peuvent plus marcher… Ou ils sont envoûtés, ça c’est la mode en ce
moment, l’envoûtement », explique l’interlocuteur constatant
que ces derniers temps les cas deviennent de plus en plus
durs et d’ailleurs les curés lui envoient des clients.
Des personnes naïves, direz-vous ? Comme l’affirme notre
interlocuteur, parmi ses clients il compte de grands
médecins et même des psychiatres.
Dans une récente publication consacrée à la popularité de
l’exorcisme en France, The Economist écrivait que les
revenus d’un exorciste en France pouvaient atteindre
12.000 euros par mois. Toutefois, André Berton attire
l’attention sur le fait que ceux qui prennent cher n’ont
pas de don".