"Aujourd’hui, à l’époque de la surveillance totale"
Justement , attention aussi au fantasme de la société 1984 ultra-contrôlé, connaissant plusieurs personnes qui bossent dans la gendarmerie/police, je peux vous dire que leur retour font très peur. Meme si la hiérarchie le souhaiterait peut être ils sont bien incapables de fliquer et d’espionner les gens ordinaires, ils sont débordés, en sous-effectifs et ont un cruel manque de moyens.
La réalité c’est qu’ils ont déjà du mal à suivre de manière optimal des individus fichés...