Si Chirac peut encore sembler un minimum sympathique en comparaison de ses successeurs inféodés au banques jusque dans leurs slips sales, c’est parce qu’il bénéficiait d’une aura politicarde à l’ancienne avec un bon sens de rigueur et surtout de façade, mais l’intérieur est aussi pourri que celui d’un hollande ou d’un macron... La pourriture fait partie intégrante de l’ADN du politichien professionnel...