"The dogs were trained to sniff out bodies. They weren’t trained to
recognize heat. So when they hopped on a smoldering I-beam [some of
which were hot enough to melt the firefighters’ rubber-soled boots]
they’d get hurt. Some of them even ignited," said Bellone", who added that the firefighters were often slowed down because they
stopped to care for their four-footed comrades, many of which could not
be saved.
"Les chiens ont été
formés pour flairer des corps. Ils n’ont pas été formés
pour reconnaître la chaleur. Ainsi quand ils atterrissaient sur une poutre
en train de se consumer[certaines étaient assez chaudes pour fondre les bottines
à semelle de caoutchouc des pompiers] ils se
blessaient. Certains d’entre eux se sont même enflammés," a dit Bellone, qui
a ajouté que les pompiers étaient souvent ralentis parce qu’ils ont
arrêté pour se soucier de leurs camarades quadrupèdes, dont beaucoup ne
pouvaient pas être sauvés.
http://web.mit.edu/newsoffice/2002/911-sunday-0911.html
Il y avait des poutres très chaudes dans les décombres, des jours après. Comment cela est-il possible. Avec les mares de métal fondu retrouvées au pied des cages d’ascenseur, cela invalide la thèse de l’écroulement accidentel.
Qu’a-t-on fait à ces poutres pour qu’elles restent incandescentes des jours après l’écroulement ?
Seuls des explosifs spéciaux peuvent expliquer ces constatations.