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Accueil du site > Tribune Libre > Analyse de l’argumentaire sophistique et rhétorique

Analyse de l’argumentaire sophistique et rhétorique

Partie 1 :

 De l’importance du discours et des postures adoptées.
Detour par l’allegorie de la caverne et l’importance de la logique.
Exemple d’arguments fallacieux.

 

Partie 2 :

 Suite d’exemples d’arguments fallacieux.




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3 réactions à cet article    


  • 1 vote
    funambule funambule 18 septembre 2014 08:43

    Paul Valéry mettait en garde contre cette tendance à vouloir absolument faire valoir, exploiter, rentabiliser, des idées qui ne sont pas abouties ... et qui, du fait de leur exploitation (il pensait aux livres, mais aujourd’hui, les vidéos ajoutent au problème) conduisent à enfermer, alourdir et retarder la réflexion.
    J’espère ne pas être hors sujet, mais quand je vous écoute Loïc, c’est cette entrave à l’avènement d’une éthique de la réflexion et de la conversation qui me vient à l’esprit.
    Poser une musique planante sur une réflexion aussi faible a cependant une vertu :
    cela aide certains à prendre conscience par soi-même de ce que Paul Valéry nous disait ...
    Alors, merci quand même.


    • vote
      Avlula 19 septembre 2014 23:34

      Intéressant même s’il y a beaucoup de détails à améliorer.
       
      J’ai du mal à être d’accord concernant la charge de la preuve. On voit en vidéo précédente la logique. Prouver A équivaut en terme de charge à prouver Non-A, l’un étant l’opposé de l’autre. La différence vient de notre culture, de ce qu’on pense qui préexiste. Celui qui apporte l’idée nouvelle est souvent sommé de la démontrer. Lorsque l’athéisme était l’idée nouvelle et que la foi était banale, il était logique que ce soit à l’athée de prouver que Dieu n’existe pas. Si nous pensons que les éléphants roses n’existent pas, il faut nous prouver qu’ils existent. Si nous pensons que la couche d’ozone existe, il faut nous prouver qu’elle n’existe pas. Alors oui briser une conviction est bien plus compliqué que d’en créer une, mais la charge de la preuve dépend de la position d’où l’on part et c’est l’idée non conforme qui doit s’appuyer sur du solide sous peine d’être immédiatement rejetée.



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Loiic16


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