E. Chouard sur le peuple, la France, les frontières et le contrat social
Deuxième partie de notre entretien avec Etienne Chouard où il aborde les questions d’un peuple et de son unification, des frontières, du contrat social etc.
Cet entretien a été entièrement réalisé avec du materiel de prêt... Il nous a aussi été difficile de le mettre en ligne rapidement faute de moyens financiers et en conséquences materiels... Si vous souhaitez nous soutenir : https://www.lepotcommun.fr/pot/8zh0tsqs
Tags : Politique Démocratie Etienne Chouard
12 réactions à cet article
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Un contrat est un accord de volontés. Mais il peut très bien y avoir d’un côté la volonté d’accueillir de nouveaux venus, de l’autre celle, plus ou moins dissimulée, de profiter de certains droits afférents. Comment, dans lepaysdesdroitsdelhomme dire à ces gens : "désolé, c’est un peu court pour être des nôtres" ? Comment s’assurer concrètement de leur allégeance ? Ne faut-il pas d’abord en finir avec l’empire du droit, avec le volontarisme ubiquitaire, la politique du libre choix permanent ? Ne faut-il pas en revenir à un individualisme non plus antécédent (à l’origine d’un contrat social), mais conséquent (produit d’un communauté politique préalable) ?
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Ca y est, Chouard est victime du critinisme.
Malheureusement, personne n’est à l’abri...
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Toujours intéressants les questionnements de Chouard !
Perso, je suis devenu automatiquement français à 18 ans, étant né en France de parents étrangers.Si l’on m’avait posé la question du choix à l’époque, j’aurais été bien embarrassé. Et puis, avais-je vraiment le choix ? Pourquoi garder la nationalité des parents ? On sait très bien que ça ne va que nous compliquer les choses. On ne peut pas rentrer au bled, on y est étranger encore plus qu’en France. Insoluble.La condition des fils d’immigrés est très-très complexe. Et la majorité des français de souche ne la cernent pas du tout.-
La seul responsabilité des FDS c’est d’avoir voter pour des pourritures qui ont créés ces situations hyper complexes.
Il n’en reste pas moins que la moindre des choses pour les immigrés et leurs fils est de se comporter de manière respectueuse.Du temps de mes aieux ont se posait pas toutes ces questions, l’immigré devait s’assimiler et l’idée d’être qualifié de "raciste" n’empêchait personne de dormir.
Résultat, je suis français à 100% et rien d’autre. Je ne me définis pas par rapport au pays d’origine de mon arrière grand père. -
60% des naissances, 35% moyenne nationale, sont des enfants d’étrangers.
Grand Remplacement
vos pleurnicheries sont dérisoires pour les desouches.
La meilleure solution c’est de ne pas vous reproduire. Si vous tenez à ce pays et aux enfants qui vont vivre un enfer à cause de la crise économique, identitaire, civilisationnelle suffit de continuer d’utiliser le préservatif.
et tout rentrera dans l’ordre d’ici 4 générations.-
On sent dans cet homme et sa façon de peser ses mots, une profonde envie, non pas de mobiliser les incultes à renverser les dominants, mais d’élever les consciences vers le plus noble destin à laquelle est vouée l’humanité à terme. Puisse t il être compris ?
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Tu exagères. Mais tu m’as bien fait marrer quand même !
"un type dont la famille a été décimée à la machette sous ses yeux sera peut être moins enclin à être poli et courtois qu’un bobo parisien élevé au club Dorothée," -
En même temps le peuple, tout ça, il se vautre dans le matérialisme et le voyeurisme. Ce qui aboutit d’ailleurs, inévitablement à l’abandon de toute conscience politique au profit d’un petit fachisme populiste, très maigrichon au niveau des idées.
Alors entre un élitisme cynique et vorace et un populisme abruti de courte vue, j’avoue être un peu découragé.-
"Ce n’est pas les nationalismes et la défense des frontières qui causent les guerres"
C’est au contraire, selon moi, une des causes principales des conflits actuels...-
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« La meilleure défense, c’est l’attaque. » dit le proverbe. La stratégie a d’ailleurs très bien réussi à Israël jusqu’à présent...
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Un petit extrait de Tacite (Les annales, LIVRE XIII) :
XXIX. Cette partie de l’administration publique changea souvent de forme. Auguste laissa d’abord au sénat le soin d’élire des préfets ; ensuite on craignit la brigue, et l’on substitua des préteurs, pris au sort parmi ceux de l’année. Cet usage ne dura pas non plus, parce que le sort s’égarait sur des hommes peu capables.
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