• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > « L’art de la guerre » de Sun tzu

« L’art de la guerre » de Sun tzu

L’art de la guerre » est LE classique de la stratégie indirecte. Ecrit il y a 25 siècles par un général chinois, ce manuel de stratégie reste parfaitement d’actualité, à condition évidemment d’en adapter les enseignements.

 

Dans cet article, des vidéos seront interposées pour illustrer les préceptes du stratège Chinois, certaines contiennent des explications de personnages très controversés : prière de ne pas s’attarder sur les personnages de façon émotive et instinctive mais de ne prendre en compte que les propos que ces intervenants tiennent dans ces court extraits !!!

 

 

Selon une longue tradition, l’Art de la Guerre a été rédigé par Sun Wu, plus connu sous le nom de Sun Tzu, général et stratège du roi Helu de Wu à la période des Printemps et des Automnes (770-476 av. E.C.). 

Toutefois, la légitimité de cette attribution est un sujet de débats passionnés. Malgré toutes ces polémiques, « l’Art de la Guerre » fait partie des lectures conseillées aux Marines américains malgré son ancienneté. Encore plus insolite, c’était le livre préféré des personnages aussi différents que le général américain Douglas MacArthur et le président chinois Mao Zedong. 

 

Sun Tzu est loin d’être un idéaliste se contentant de grands principes et de règles abstraites. 

 

Gagner ou perdre une guerre ne se fait pas par hasard, ni par l’intervention des dieux ou des esprits. C’est une question de méthode et de stratégie. De bons principes stratégiques conduisent à la victoire, il est donc important de les étudier. Considérant la guerre comme une réalité inévitable, il montre comment l’analyse des faiblesses de l’ennemi peut fonder une tactique, si l’on sait les exploiter, et même les aggraver ; il met l’accent sur la dimension psychologique du combat, sur le rôle de la ruse et de la fuite.

 

Le succès durable de son livre est aussi bien dû à l’importance des principes généraux édictés qu’à son caractère pratique de manuel stratégique. Sun Tzu est manifestement plus présent que jamais. Si ses premières applications au monde de l’entreprise et de l’économie remontent maintenant à quelques décennies, force est de constater que "L’art de la guerre" est aujourd’hui décliné dans plusieurs domaines : là où Sun Tsu parle de cavaliers et d’archers, on peut penser blindés et infanterie (si l’on est militaire), usines et canaux de distribution (si l’on est chef d’entreprise), appareil militant et réseau de sympathisants (si l’on agit dans le champ politique). Là où il parle de l’interception des messagers, on peut penser virus informatiques. Etc.

 

Un rapide résumé : 

 

1. L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat

 

Au contraire de Clausewitz, Sun Tzu ne voit pas dans la grandiose bataille d’anéantissement le sommet de l’art du stratège. Si l’on peut détruire l’ennemi, on se jette sur lui, mais la " duperie peut faire mieux encore.

 

 

 

A titre d’exemple moderne, on pourrait citer la différence entre le « hard power » des néoconservateurs et le « soft power » des paléo -conservateurs.

 

Pour les néoconservateurs dont l’un des crédos est « la bible (comprendre ancien testament) pour la morale et la Grèce pour la guerre », les USA sont le « gendarme du monde », l’action militaire est au centre de leur approche géostratégique, ce qui peut à terme mener à une implosion de la puissance américaine, comme tous les empires qui se plongent dans la fuite en avant guerrière (lire l’ article de mécanoblog « L’ empire surmené : le discrédit de la puissance américaine  »).

 

Les paléo-conservateurs eux, situent la domination américaine dans un cadre multilatéral. Ils veulent que l’Occident dans son ensemble reste prédominant, et que les USA soient prédominants au sein de l’ensemble occidental. C’est la base du « soft power ». Cette stratégie infiniment plus subtile que la brutalité néoconservatrice repose sur une priorité accordée à l’influence, la guerre ouverte ne venant qu’en dernier recours. 

 

Cela passe par l’infiltration des élites occidentales, par la détection des membres de ces élites les plus influençables, afin de les favoriser, pour qu’ils deviennent prédominants au sein de leur oligarchie spécifique. Là où les neo -cons bombardent et occupent militairement, les conservateurs réalistes eux proposent de corrompre, diviser, manipuler, pour imposer des gouvernements à la botte des USA. 

 

Ainsi, il n’est plus nécessaire de faire la guerre à l’ennemi : on le conquiert de l’intérieur, en offrant à une fraction de ses classes dirigeantes l’intégration dans l’hyper-classe mondialisée.

 

 

On peut également se référer au concept US du « Fourth Generation Warfare » ou son pendant chinois, la « guerre hors limite » : la guerre qui se déploie sur tous les fronts, en impliquant tous les aspects de la vie politique, économique financière, informatique, technologique, commerciale, médiatique et culturelle, parce que la confrontation directe, par l’armement, est devenue trop dangereuse à cause de la trop grande puissance de destruction des armes modernes. 

 

 

« Soumettre l’ennemi par la violence n’est pas le summum de l’art de la guerre, le summum de cet art est de soumettre l’ennemi sans verser une seule goutte de sang. »

 

2. L’art de la guerre commence à l’intérieur de l’esprit

 

Pour Sun Tsu, l’art de la guerre commence à l’intérieur de l’esprit, parce que la correcte appréciation des rapports de force et des jeux diplomatiques n’est possible que si l’on a soi-même l’esprit clair.

 

 

Cet esprit clair, explique le stratège chinois, est vital pour tout chef de guerre, parce qu’il est rare qu’une armée soit en position de l’emporter de manière directe, par son seul élan. 

 

Si le rapport de forces est écrasant, il faut attaquer frontalement. Mais c’est rarement le cas. Il faut donc conduire, en amont du combat, des manœuvres indirectes, dont le but est soit de préparer une situation favorable au combat, soit de vaincre sans même devoir combattre. Dans tous les cas, il ne faut frapper qu’une fois qu’on est sûr de vaincre, d’un seul coup, au point que l’adversaire ne pourra pas se relever.

 

Ces manœuvres indirectes seront citées dans les points qui suivent : 

 

3. La mobilité

 

Se mettre en situation de choisir le lieu et l’heure des combats, afin d’être en supériorité là où le combat a lieu

 

 

Pour cela, cinq conditions doivent être réunies :

 

Avoir sanctuarisé sa propre base logistique

 

- Effectuer des répétitions, bouger souvent sans que l’adversaire en ait donné de raison précise. Ainsi, l’adversaire ne parvient pas à déterminer les positions que l’on occupe, et l’on peut soi-même vérifier constamment la disponibilité des troupes, perfectionner leur capacité de coordination et garantir la cohésion d’un maillage fluide.

 

- Bien connaître ses troupes pour placer en tête des mouvements les éléments les plus sûrs, et les médiocres en queue de peloton. Bien connaître le terrain pour éviter de s’engager dans des lieux mal adaptés au mouvement ou au maintien des liaisons logistiques. D’une manière générale, progresser constamment en connaissance des données du combat.

 

- Développer un réseau d’espions et d’informateurs pour être constamment au courant des mouvements de l’adversaire. Pour cela, posséder des agents dans le camp ennemi, soit en les envoyant s’engager chez l’adversaire, soit en retournant des éléments adverses.

 

 

-Avoir testé les réactions de l’adversaire pour savoir comment il réagit, et ainsi le connaitre.

 

 

4. La cohésion

 

Assurer la cohésion de son propre camp tout en ruinant celle du camp opposé.

 

 

Pour cela, trois conditions doivent être réunies :

 

Préférer une petite armée dont on peut maintenir la cohésion à une grande armée trop complexe et hétérogène ; La formule idéale est généralement un corps hiérarchique central, très structuré, autour duquel gravitent des éléments secondaires inscrits dans un réseau nodulaire. Organisation pyramidale au centre, donc, entourée d’une organisation, apte à se réparer elle-même, gravitant autour du noyau structuré.

 

Veiller au respect de l’équité au sein de son armée. Donc faire sentir à ses troupes qu’on les connaît et ne les engage que lorsque les circonstances sont adaptées.

 

 

Inversement, tout faire pour favoriser, au sein de l’armée adverse, la conscience de l’iniquité du commandement ennemi. Répandre des rumeurs de trahison dans son entourage, le rendre paranoïaque. En profiter pour recruter des éléments retournés. Diviser l’adversaire, tout en unissant en sous-main des éléments retournés contre lui, à l’intérieur de son camp.

 

Amener l’adversaire à se tromper sur la qualité de ses troupes, afin qu’il les évalue mal et les engage de manière inadéquate. Utiliser pour cela l’intoxication. 

 

5. La propagande

 

Imposer le système de représentation à l’adversaire. Une bonne propagande n’a pas pour objectif d’énoncer des propositions, mais de verrouiller les catégories de la réflexion, en amont de l’énonciation. La propagande consiste à pénétrer la pensée de l’armée adverse en lui imposant un système de représentation. Pour cela, truquer les catégories dans lesquelles l’adversaire perçoit la situation. Agir en amont sur les champs de la perception. Imposer ses propres catégories, pour que l’adversaire ne puisse plus penser de manière autonome, ni exprimer une pensée autonome que ses troupes peuvent partager.

 

Affaiblir la confiance de l’ennemi en le troublant. Pour cela, l’amener à intérioriser sa propre inférioritéRuiner la confiance de la troupe adverse dans ses chefs. Egalement, favoriser tout ce qui peut amener l’esprit de l’adversaire à se diviser contre lui-même. La duperie permet de brouiller les perceptions de l’adversaire, au point qu’il peut être paralysé au moment de l’action.

 

Avoir des espions en qui on n’a pas confiance, et les utiliser pour communiquer à l’adversaire de fausses informations. Si l’on repère un espion adverse, ne pas le tuer, mais l’utiliser pour qu’à son insu, il trompe l’adversaire en lui transmettant des mensonges soigneusement étudiés pour paraître crédibles.

 

On peut se rappeler du rôle de « l’ange » du Mossad pendant la guerre du Kippour, l’espion Egyptien Marwan qui a été utilisé très habilement par les services Egyptiens pour intoxiquer les dirigeants Israéliens.

 

6. L’encadrement

 

Eviter de confier des responsabilités à des hommes braves mais stupides. D’une manière générale, veiller à ne pas employer les ressources humaines à contre rôle.

 

Si l’on soupçonne une trahison, ne jamais aller aux conclusions trop vite. Tester. Faire en sorte que la trahison soit patente avant qu’on la punisse. Celui qui châtie beaucoup se met en difficulté.

 

 

Veiller à ce que les officiers fidèles n’aient pas de doute sur ce que le stratège pense d’eux. Ne pas les laisser soupçonner qu’ils sont soupçonnés, que l’on les soupçonne ou pas. Etre bienveillant, en somme, jusqu’au moment précis où l’opinion générale commande qu’on ne le soit plus.

 

7. Les alliances

 

Créer un rapport de forces favorable en définissant les camps. Pour cela, il est vital de rendre impossible la constitution par l’adversaire d’un système d’alliances cohérent. On peut ainsi définir les camps, et faire évoluer le rapport de forces non en devenant plus fort, mais en s’insérant dans une alliance plus forte que l’alliance construite par l’adversaire.

 

Pour cela, étudier les forces en présence et s’interroger sur leurs intérêts objectifs. Anticiper sur les failles qui peuvent apparaître dans les systèmes d’alliance. Dans son propre camp, verrouiller ses alliés en leur montrant que l’adversaire traite mal les transfuges. De son côté, bien traiter les transfuges. Exploiter les failles chez l’adversaire en cherchant à isoler l’ennemi principal. Proposer des alliances de revers à ceux qui se trouvent dans le dos de l’adversaire et l’utilisent comme bouclier. Proposer des alliances alléchantes à ceux qui se trouvent devant l’adversaire et qu’il utilise comme bouclier. Essayer de trouver des compensations supérieures aux offres de l’adversaire. Répandre le soupçon chez les alliés de l’adversaire, leur faire croire qu’il s’apprête à les trahir. D’une manière généralefaire comme si l’on disposait d’agents à l’intérieur du camp ennemi, même si l’on n’en a pas. Ainsi, l’adversaire se méfiera, ses alliés sentiront sa méfiance, et ils considèreront l’alliance comme déjà à moitié rompue.

 

 Tel est l’enseignement de Sun Tse. On pourrait au final le résumer en trois grands principes :

 

- Savoir concilier les contraires en discernant leurs mariages possibles,

 

- Etre vertueux chez soi,

 

- Etre vicieux chez l’ennemi.

 

 

Sources : 

L’art de la guerre

 

Scriptoblog

Méridien Zorro

 

Tags : Culture Guerre




Réagissez à l'article

79 réactions à cet article    


  • 1 vote
    christophe nicolas christophe nicolas 18 juillet 2014 17:08

    Oui, et bien il est temps d’évangéliser tout cela, ce sont des raisonnements de sauvages. Purée il vont maximum au purgatoire avec de telles conneries. 

    Moi j’aurais appelé l’article "comment s’envoyer en enfer" ou "qui gagne perd".


    • 1 vote
      maQiavel maQiavel 18 juillet 2014 19:45

      Vous pouvez toujours dire que ce sont des raisonnements de sauvages, mais dans ce cas, la terre des hommes est un monde de sauvage ...


    • 4 votes
      Chitine Chitine 18 juillet 2014 17:11

      "Imposer le système de représentation à l’adversaire. Une bonne propagande n’a pas pour objectif d’énoncer des propositions, mais de verrouiller les catégories de la réflexion, en amont de l’énonciation. La propagande consiste à pénétrer la pensée de l’armée adverse en lui imposant un système de représentation. Pour cela, truquer les catégories dans lesquelles l’adversaire perçoit la situation. Agir en amont sur les champs de la perception. Imposer ses propres catégories, pour que l’adversaire ne puisse plus penser de manière autonome, ni exprimer une pensée autonome que ses troupes peuvent partager."
      .
      De ce conseil, la colonisation par la culture que les américains développent depuis 1945 est une parfaite application.


      • 3 votes
        Pierre JC Allard Pierre JC Allard 19 juillet 2014 01:43

        "De ce conseil, la colonisation par la culture que les américains développent depuis 1945 est une parfaite application"


        Oui. Hollywond et Voice of America ont gagné la Guerre Froide. Mais la table a totalement tourné depuis la 9/11. L’irak, la Libye, l’Afghanistan. Les USA n’ont pas "converti leur essai".... Les sondages revelent qu’une majorite de la poputlaion dans les anciens pays de l’Est se dit tdéçue de la démocratie a l’occidentale et REGRETTE le régime sovietique. C’est ca, le coeur de la géopolitueqe actuelle et c’est ce fond que se deroulent les escarmouches  en Syrie, maintenant l’Ukraine.... 

         Si Poutine reussit a garder son calme et une image de raison - et fait les pas a gauche que demande sa population - il suffira qu’apparaissent des leaders communistes crédibles dans les pays de l U.E poour que ceux-ci se reclamnant à
         nouveau d’un Grand Frère à Moscou, deviennent une alternatibve a la catastrophe actuelle. Le rejet des USA et le degout poour les politiciens actuels peuvent rendre cette option majoritaire... et l’equilibre des forces mondiales basculerait.... a la Sun Tsu : "la meilleur victoire est celle obtenue d sans combattre"


         PJCA



      • 1 vote
        erQar erQar 18 juillet 2014 17:23

        Salut maQ,
        -
        Il y a quand même une notion qui manque et qui est le nerf de la guerre, c’est la notion d’argent
        -


        • vote
          maQiavel maQiavel 18 juillet 2014 19:37

          Salut Erqar

          L’argent n’est pas le nerf de la guerre. Le nerf de la guerre, ce sont de bons soldats.

          Discours sur la première décade de tite Live Livre II chapitre X : Que l’argent n’est pas le nerf de la guerre, quoique ce soit l’opinion générale

          On peut commencer la guerre quand on veut, mais on ne la finit pas de même. Il est donc du devoir d’un prince, avant que de former une entreprise, de mesurer ses forces et de régler d’après elles ses projets. Mais il doit être assez sage pour ne pas se faire illusion dans cet examen. Il se trompera toujours s’il les calcule d’après ses ressources d’argent, d’après la situation de son pays et la bienveillance de ses alliés . Tous ces avantages augmentent, certes, les forces, mais ne les fournissent pas. Seuls, ils sont nuls et, par eux-mêmes, ils ne peuvent servir, sans le secours d’une armée à toute épreuve. Tous les trésors ne sont rien sans de pareilles troupes. La seule force d’un pays ne le défend pas ; la fidélité, la bienveillance des alliés ne durent pas. Êtes-vous hors d’état de les défendre à votre tour ? Ils ne peuvent vous être fidèles. Les montagnes, les lacs, les lieux les plus inaccessibles deviennent d’un facile accès quand ils sont dépourvus de vaillants défenseurs. Les trésors, au lieu de vous servir, ne servent qu’à exciter de plus en plus contre vous la cupidité des ravisseurs ; et il n’y a pas d’opinion plus fausse que celle qui veut que l’argent soit le nerf de la guerre.

          Cette maxime est mise tous les jours en avant, et les princes, qui s’y confient plus qu’ils ne devraient le faire, règlent leur conduite d’après ce préjugé. Il les aveugle au point de leur faire croire que de grands trésors suffisent pour les défendre. Ils ne voient pas que s’il en était ainsi, Darius eût vaincu Alexandre, les Grecs eussent triomphé des Romains, de notre temps, le duc Charles eût battu les Suisses, et les Florentins et le pape n’eussent pas eu tant de difficultés à venir à bout de Francesco Maria , neveu de Jules II, dans la guerre d’Urbin.

          Tous ceux que nous avons désignés ci-dessus ont été vaincus par ceux qui ont pensé que ce n’est pas l’argent qui est le nerf de la guerre, mais de bonnes troupes. Parmi les objets de curiosité que Crésus, roi de Lydie, faisait admirer à Solon l’Athénien, était un immense trésor. Que pensez-vous de ma puissance, lui dit ce prince, en le lui montrant ? Ce n’est point par cet amas d’or que j’en juge, répliqua Solon ; c’est avec le fer et non avec l’or qu’on fait la guerre ; un ravisseur, qui aura plus de fer que vous, peut vous enlever vos trésors.

           

          Je m’élèverai donc contre le sentiment général  : ce n’est pas l’or, mais les bons soldats qui sont le nerf de la guerre. L’or ne fait pas trouver de bonnes troupes, mais les bonnes troupes font trouver de l’or. Si les Romains avaient voulu faire la guerre plus avec de l’or qu’avec du fer, tous les trésors de l’univers ne leur auraient pas suffi, à en juger par la grandeur de leurs entreprises et par les difficultés qu’ils y rencontrèrent ; mais l’usage qu’ils faisaient du fer les empêchait de manquer d’or ; les peuples qui les redoutaient leur apportaient leurs richesses jusque dans leur camp.

          Je le répéterai donc de nouveau  : ce n’est pas l’or, mais les soldats qui font les succès en guerre.L’argent est sans doute un moyen , mais un moyen secondaire que de bons soldats ne manquent jamais de vous procurer, parce qu’il est aussi impossible que de bons soldats ne trouvent pas de l’or, qu’il est impossible que de l’or procure de bons soldats. L’histoire nous le prouve en vingt endroits différents. L’exemple de Périclès, conseillant aux Athéniens de faire la guerre à tout le Péloponnèse, et les persuadant qu’avec de l’adresse et de l’argent, ils resteraient vainqueurs, ne détruit pas cette preuve. En effet, les Athéniens obtinrent, il est vrai, quelques succès mais, à la fin, ils succombèrent, et la sagesse et le courage des soldats de Sparte l’emportèrent sur l’adresse et l’or des Athéniens.


        • 1 vote
          maQiavel maQiavel 18 juillet 2014 19:43

          Et ce que Machiavel explique  là est valable aussi pour aujourd’hui, c’est intemporel.

          De l’argent sans de bons soldats ça ne sert à rien, c’est être réduit à se servir de troupes mercenaires, qui même bien armé s’enfuiront devant des soldats bien moins armé mais motivés.

          Par contre lorsque vous avez de bons soldats, l’argent et les finances viennent d’elles mêmes …

          C’est une tendance moderne de donner autant d’importance aux finances, avec 1000 fois moins de moyens que les Français, les américains, et les chinois , les viets ont gagné toutes leurs guerres au cours du XX ème siècle … 


        • vote
          Pierre JC Allard Pierre JC Allard 19 juillet 2014 02:23

          @ MaQuiavel


           Un bon conseil de Sun Tzu : si votre ennemoi ne le sait pas, inutile de le détromper

          PJCA

        • 3 votes
          scalino scalino 18 juillet 2014 17:43

          Sun tzu 2500 ans et pas une ride ^^


          • 2 votes
            christophe nicolas christophe nicolas 18 juillet 2014 18:39

            Pas une ride ? Vous êtes sérieux ? 12 gars avec Jésus crucifié ont changé le monde entre temps, expliquez moi comment ?



            • 3 votes
              christophe nicolas christophe nicolas 18 juillet 2014 21:12

              Ce n’est pas la guerre qui est importante, ça n’a jamais rien changé la guerre. Les abrutis croient changer le monde alors qu’ils ne font que se damner.

              La foi a été implantée par Dieu pour la connaissance, c’est la connaissance qui apportera la paix, l’aspect spirituel en faisant parti. Le principal mal des puissants est de pervertir la connaissance pour qu’elle serve leur égo. L’église est une antidote qui apostasie de temps en temps... mais c’est tout de même un sérum de vérité.
              La guerre n’est qu’une façon de régler les crises lorsqu’on s’écarte collectivement de la vérité à cause de l’orgueil des chefs, des mauvais cultes, des scientifiques, etc...

            • vote
              maQiavel maQiavel 18 juillet 2014 21:18

              La foi a été implantée par Dieu pour la connaissance, c’est la connaissance qui apportera la paix, l’aspect spirituel en faisant parti. 

              ------> Oui oui oui, la paix la spiritualité, les bisous tout ça … mais en attendant la guerre existe et ça, c’est un fait !


            • vote
              scalino scalino 18 juillet 2014 22:08

              Changé le monde ha bah merde je savais pas 

              la terre etait deja ronde a l’époque et l’ai toujours 
              les humains dominait le monde et se faisait la guerre entre eux et aujourdhui toujours 
              les hommes au pouvoir mentaient et ils mentent toujours 
              y avaient des salauds y en a toujours 

              Etc etc 

              Y a bien plus a apprendre sur la nature humaine dans zun tsu que dans la bible smiley

            • 3 votes
              christophe nicolas christophe nicolas 19 juillet 2014 08:23

              Mais non tu ne comprend pas, lorsque tu considères une chose vrai tu t’y tiens naturellement sans contrainte. Tu peux faire des écarts mais tu y reviens. Ce n’est pas un problème de bisounours mais de vérité.

               
              Fait on la guerre pour l’air qu’on respire ?
               
              Non car c’est abondant et personne ne peut se l’approprier. Et bien ce sera bientôt comme cela pour toute chose. La connaissance le permettra mais pas les chefs, car cela leur retire leur pouvoir et ils pensent en terme de "guerre". Il faut donc que l’état d’esprit de Jésus triomphe sur celui de Machiavel qui est le véritable dragon de l’apocalypse, l’essence du mal inscrite dans son nom. Choisir Machiavel, c’est lire le monde avec esprit de domination et la réalité est totalement déformée puisqu’il ne donne aucun poids à la réalité de l’amour qui est l’essence de la vie. Un tel état d’esprit est mortifère pour soi même mais pour l’entourage qui souffre la relation machiavélique imposée forcément dominatrice et sans amour. Un esprit qui serait machiavélique pour tous ses rapports relationnels serait Satan lui même. Imaginons qu’il sème la zizanie pour imposer ce style de rapport, il chasserait la vérité, l’amour et la vie du monde, ce qui est la définition de l’enfer.
               
              Si on décrit la lutte de Jésus comme une guerre on n’est pas cohérent. Les paroles guerrières de l’ancien testament s’adresse à des guerriers qui ne connaissent pas encore Jésus, ce langage sert à ouvrir les cœurs. Après Jésus le ton du langage change.

              Refuser Jésus par choix et non par ignorance est donc le résultat d’une mauvaise lecture de l’ancien testament un choix machiavélique, celui des sionistes. L’Islam aussi devra reconnaître Jésus à un moment donné ou ils rejoindront les sionistes. Mais d’abord, il faut vaincre la grande apostasie qui règne dans la connaissance et qui est rentrée dans l’église, la science matérialiste sous toute ses formes. Ca commence par la théorie de l’intrication et après, c’est toute un pan de la réalité physique qui apparaît qu’on pensait impossible. Evidemment les chefs ont planté le truc car il pensent "art de la connerie" en se croyant intelligent mais sans aucune compréhension des conséquences, leur destitution. On va les voir pour ce qu’ils sont machiavélique et ça tue les chefs sauf les militaires mais cela est entendu et cela ne doit pas sortir du cadre du conflit armé.

            • 1 vote
              scalino scalino 19 juillet 2014 11:44

              Et bien vous devez vous sentir bien malheureux dans ce monde vu que la réalité contredit tout ce que vous dites tous le temps smiley


            • 1 vote
              medialter medialter 18 juillet 2014 21:37

              Ils avaient les drones il y a 25 siècles ? la dissuasion nucléaire ? les missiles de croisières ? le concept de bases militaires propriétaires dans 50 pays alliés ? Les stratégies ont du légèrement changé smiley Maq, c’est un peu comme ces mecs qui redécouvrent les débuts de l’aviation avec un moteur à hélice de 160ch, à l’époque de la navette spatiale.


              • 2 votes
                scalino scalino 18 juillet 2014 22:01

                Non malgré toute notre technique sun tzu est toujours valable ne vous en deplaise les armes changent mais ce sont toujours des hommes qui les utilisent smiley


              • vote
                medialter medialter 18 juillet 2014 22:23

                "sun tzu est toujours valable"
                *
                Péremptoire. Démonstration ?


              • 3 votes
                scalino scalino 18 juillet 2014 22:27

                la démonstration est dans l’article lisez le au lieu de juste repondre aux posts smiley


              • 3 votes
                medialter medialter 18 juillet 2014 22:45

                Vous voulez parler de ce torchon qui nous met du Barbier comme explication de texte ? Merde, je me suis gouré, je croyais à une parodie smiley Alors on dit que c’est sérieux, hein ? OK. Je prends le premier précepte : "Soumettre l’ennemi sans combattre" smiley smiley smiley smiley smiley smiley smiley smiley Putain on se demande pourquoi les budgets militaro-industriels sont illimités.


              • 3 votes
                scalino scalino 18 juillet 2014 22:57

                A quoi sert la CIA et la NSA selon vous ? 

                C’est bien allez plus loin maintenant et voyez ce que propose sun tzu de faire pour cela
                 
                Un effort a la fois vous risquez une luxation du cerveau allez y a votre rythme smiley

              • vote
                medialter medialter 18 juillet 2014 23:26

                Dois-je déduire de ce commentaire que vous sous-entendez que l’entité atlantiste suit (ou essaye de suivre) les préceptes de Sun-Tsu ? Là c’est sûr, mon cerveau est largement sous-dimensionné. Il me faudrait un bon pédagogue, mais c’est curieux, on a du mal à en trouver pour ce genre de délire.


              • 4 votes
                scalino scalino 19 juillet 2014 00:13

                quand l’URSS a envahi l’afghanistan les américains n’ont pas fait la guerre et ont bien gagner non ? smiley


                D’ailleur il ont gagner contre l’URSS sans faire la guerre, les USA l’ont fait s’effondrer, ça vous suffit comme exemple ou je dois encore m’efforcer de vous ridiculisez ?


                Suivent t’il les enseignements de sun tzu ? aucune idée 
                Est ce que les USA les appliques sans connaitre sun tzu ? possible 

                Mais il n’en reste pas moins que ce que dit Sun Tzu est applicable a l’heure actuel smiley



              • vote
                medialter medialter 19 juillet 2014 00:33

                Mais les américains n’ont rien gagné, ils ont du faire le 11 sept pour s’y installer. Si c’est ça Sun Tsu, c’est vraiment un modèle


              • 2 votes
                scalino scalino 19 juillet 2014 00:42

                Z etes idiot ou vous le fait expres la guerre froide c’etait entre les USA et l’URSS tout ce qu’il voulait c’est faire perdre l’URSS l’afghanistan ils s’en foutaient royalement a l’époque 


              • vote
                maQiavel maQiavel 19 juillet 2014 10:53

                Ha ha ha, médialter, tu me fais vraiment de plus en plus marrer. smiley

                Scalino , je peux t’ assurer que tu perd ton temps avec médialter , il ne comprend strictement rien à la stratégie politique , et pour cause , non seulement ça le dégoute ( le plus pourri qui gagne)  mais en plus dans sa vision paranoïaque du monde , elle n’ a pas sa place puisque tout est sous contrôle.

                Concernant les avancées technologiques qui rendraient les vieux principes stratégiques et tactiques obsolètes, je conseille tout simplement la conférence du Général Vincent Desportes posté par le cercle Aristote dans l’article intitulé « l’avenir de la guerre  ».


              • 3 votes
                medialter medialter 19 juillet 2014 13:40

                L’empire qui utilise Sun Tsu, mais vous êtes vraiment des bouffons. Soignes ta conclusion, Maqouille, t’arriverais presque à faire illusion entre ce stratège qui fut une référence à son époque et les néo-cons qui sont une bande de pourris sans foi ni loi qui n’hésitent pas à buter des gamins par millions (liste disponible sur demande) pour avancer un pion. "Etre vertueux chez soi" MDR smiley Ha ils le sont, vertueux, chez eux, sacré guignol smiley


              • vote
                Qamarad Qamarad 19 juillet 2014 03:38

                Merci pour tes articles toujours aussi instructifs.
                Il serait intéressant aussi d’avoir une illustration pratique de cette article qui se veut synthétique et théorique.
                Ace titre, les derniers rebondissements de l’affaire ukrainienne méritent notre attention. Les médias occidentaux et orientaux restent encore prudents, mais il sera intéressant d’analyser l’évolution du conflit si un coupable est désigné. L’impact moral est si prégnant, on parle de civils liquidés (bavure ou pas, on ne retiendra que ça sans aucun doute), que le conflit devrait prendre une autre envergure.
                Parallèle en Syrie avec le massacre de Houla.J’ai assisté à un phénomène d’hypnose collective. Alors que je regardais le JT avec ma famille, l’image des enfants gazés apparut et la voix off répétait inlassablement "Le régime de Bachar al Assad". L’accusation était alors sommaire : c’est Bachar qui est derrière tout ça. J’ai tenté d’expliquer que :
                1) Ce n’est pas parce que le reportage insiste sur l’éventuelle implication de Bachar, que sa responsabilité est engagée.
                2) Les médias ont un parti pris évident et pour se faire un avis, il faut écouter d’autres versions des faits et attendre les conclusions d’enquêtes si elles advenaient
                3) Je comprends l’émotion suscitée. Mais, une ficelle émotionnelle aussi grosse mérite réflexion, surtout qu’elle tombe au moment opportun (Barack avait déclaré quelques jours auparavant que c’était la ligne infranchissable).
                J’ai même affirmé, et c’est aujourd’hui démontré, que les rebelles étaient certainement les commanditaires de l’attaque au gaz.
                Bon, indignation générale contre un homme incapable de compassion...
                Ce que je veux simplement dire, c’est que, pour actualiser la pensée de Sun Tzu, la guerre psychologique et même morale (belle oxymore qui plus est) prend une place centrale, sûrement du jamais vu dans l’histoire. La guerre doit trouver une justification morale et les dommages sur les civils, inévitables, sont la démonstration évidente de la barbarie adverse. Si je devais retenir la caractéristique singulière de notre époque comparée aux autres, c’est ce besoin décrit plus hait de justification morale, cache-sexe de la dégueulasserie, et de pureté des opérations : on s’indigne qu’il n’y ait pas que des soldats qui meurent ! Bientôt, on s’indignera des morts tout court !


                • vote
                  Qamarad Qamarad 19 juillet 2014 10:26

                  Psychologie et propagande sont donc très présents, ainsi que ce besoin de moral peut-être d’ailleurs exclusif à notre époque et finalement simple parenthèse historique...


                • vote
                  maQiavel maQiavel 19 juillet 2014 11:32

                   

                  Salut camarade « Qamarad ». 

                  -Il serait intéressant aussi d’avoir une illustration pratique de cette article qui se veut synthétique et théorique.

                  ------> Oui, c’est le but de l’article, il ne s’agit pas de s’ extasier sur Sun Tzu de façon philosophique mais de trouver des applications pratiques des principes édictés.

                   

                  -On parle de civils liquidés (bavure ou pas, on ne retiendra que ça sans aucun doute), que le conflit devrait prendre une autre envergure.

                  ------> Dans la propagande moderne, accuser son adversaire d’être à l’ origine d’exaction contre les civils est fondamental, c’est vraiment quelque chose de nouveau qui est lié à l’émergence de l’humanisme, dans un premier temps, à la shoah et à l’intense propagande anti-fasciste qui en a découlé dans un second temps.

                  Dans son petit manuel du citoyen critique, Anne Morelli donne quelques principes sur lesquels s’appuie la propagande moderne (nous ne voulons pas la guerre, le camp adverse est le seul responsable de la guerre, le camp adverse a le visage du diable, l’ennemi provoque sciemment des atrocités, et si nous commettons des bavures, c’est involontairement etc).

                  Cela a existé aussi par le passé, mais il faut admettre que ça s’est considérablement amplifié au cours du XX ème siècle, on a l’impression qu’aujourd’hui, cette dimension humaniste dans l’ art de la guerre est dominante à un tel point que des concepts aussi absurdes que « guerre propre » , « frappes chirurgicales » ont émergés.

                  Dans tous les cas, les principes de Sun Tzu sont respectés, il s’agit de ruiner la réputation de l’adversaire et ruiner la confiance de l’opinion en lui ( ce qui est encore plus important aujourd’hui avec le poids politique des opinions publiques ).

                  Mais le plus important, c’est qu’en essayant de ruiner la réputation de l’adversaire, on essaie soi même de passer pour plus blanc que neige, et cela ne peut se faire qu’en dissimulant ses propres actes. Car soyons franc : dans toutes les guerres, toutes les parties en présences sont responsables d’exactions, il en est ainsi sur la terre des hommes …

                  Donc finalement, au lieu de parler du fond des affaires, qui sont en réalité des thématiques de puissances et d’ hégémonie politique , on en est réduit à compter les morts, à déterminer qui sont les gentils et les méchants etc.

                  Cela servait les classes dirigeantes occidentales puisqu’ elles avaient les médias pour elles, cet aspect émotionnel de la guerre permettait d’éluder les questions de fonds, à présent, avec l’émergence d’internet, les mêmes mécanismes se retournent contre elles, ce qui explique ce contexte de propagande contre propagande …

                  Mais comme tu dis , je suis souvent halluciné que des gens s’ étonnent que des civils meurent à la guerre , et en réaction , on est réduit à énoncer des truismes du genre « mais voyons , c’ est la guerre , il est normal que des gens meurent » …  smiley


                • 2 votes
                  yo 19 juillet 2014 06:55

                  Mauvaise analyse. Mauvaise compréhension des textes dont les traductions qui circulent sont mauvaises.
                  .
                  Le titre de l’artice devrait être plutôt. "L’oeuvre de Sun tzu analysé par un militant politique anarchiste pacifiste".

                  .

                  Sun tzu n’est pas le seul auteur de l’art de la guerre (ancienne tradition des théories de la Guerre aux temps des royaumes Chinois).

                  .

                  Bref. Tout l’article est bullshit !


                  • 1 vote
                    maQiavel maQiavel 19 juillet 2014 11:04

                    -Sun tzu n’est pas le seul auteur de l’art de la guerre (ancienne tradition des théories de la Guerre aux temps des royaumes Chinois).

                    ------> Bon, premièrement l’article a mentionné qu’ il y’ a des polémiques à ce sujet. Je n’ allais pas m’ attarder là-dessus parce que ça ne m’ intéresse pas , c’ est une question d’ expert , ce qui m’ intéresse , ce sont les thématiques de fond de la version de « l’ art de la guerre » la plus rependue n celle qui est structuré en 13 chapitres ,chacun traitant d’un aspect d’organisation ou de stratégies militaires.

                    Je ne vais pas m’attarder sur les questions de l’altération du texte, des différents auteurs etc., ce n’est pas le sujet, il faudrait un autre article pour ça et personnellement, ça ne m’intéresse pas …

                     


                  • 1 vote
                    yo 19 juillet 2014 19:10

                    C’est pas la peine d’écrire un article si vous ne connaissez même pas les fondamentales.
                    .
                    L’art de la guerre n’est pas fait pour les bisounours.


                  • vote
                    Et Hop ! 1er avril 2019 21:37

                    @yo

                    C’est connu que le texte chinois a été rédigé par Souen Wou vers 770-475 avant JC, mais quelle importance ?

                    La bonne version de ’’L’Art de la guerre’’, c’est la traduction française par le Père jésuite JJM Amiot en 1772, écrit dans une langue remarquable de clarté et de concision.

                    Il existe des traductions contemporaines qui ont le défaut de toutes les traductions littérales, elles sont obscures.


                  • vote
                    yo 19 juillet 2014 06:57

                    L’art de la guerre, on va l’appliquer contre les Sionistes !
                    .
                     Qui sème le vent récolte la "tempète de colère !"


                    • vote
                      christophe nicolas christophe nicolas 19 juillet 2014 08:36

                      Il ne faut pas amener le machiavélisme militaire dans le domaine de la vie réelle, c’est dangereusement mortifère. Les conflits armés sont des cas exceptionnels. Les rapports humains ne doivent pas être abordés en terme de guerre, c’est de la folie satanique. Bientôt, on va nous faire l"art de la guerre entre une mère et son bébé qu allaite... du délire machiavélique


                      • 1 vote
                        yo 19 juillet 2014 19:16

                        L’art de la guerre est largement enseigné dans le commerce.
                        .
                        Et totalement appliqué par les multinationales qui l’appliquent avec une telle ferveur qu’aujourd’hui elles ont besoin de stratégie guerrière pour commander leurs employés et de vrai armée privée pour les protéger.
                        .
                        Aujoud’hui "l’art de la guerre" est plus employé par les entreprises que par les armées (équipés de matériel militaire) eux mêmes.
                        .
                        Et les partenariats commerciaux avec Israel est un exemple parfait. (Silence+non action contre commerce de matériel nucléaire et haute technologie).


                      • vote
                        christophe nicolas christophe nicolas 20 juillet 2014 23:28

                        Tu as raison, c’est un fait mais c’est une grave déviance, très grave... N’oublions pas que ce fut l’objet de la venue de Jésus. Perte de foi, hypocrisie, pratique abusive de l’usure, pharisiens qui se tiraient la bourre pour être le plus riche, etc... Cela se passait dans Israël maintenant c’est revenu et c’est mondial. La faute a qui ? Qui a fait toutes les théories débiles pour contourner Jésus ? 


                        C’est surtout une question d’état d’esprit, un combat de la cupidité contre la vérité.



                      • vote
                        Frida Frida 19 juillet 2014 08:48

                        Un question :
                        répéter des phrases du genre " gagner la guerre sans la faire", "soumettre l’ennemi sans combattre" etc....mais alors, que penser de ceci
                        1er acte
                        http://www.youtube.com/watch?v=qet0B2BmLrM
                        2ème acte
                        http://www.youtube.com/watch?v=4_p6t58YPmI
                        3ème acte
                        http://www.youtube.com/watch?v=KrLI3S4n4w4

                        Donc que dire des gens qui non seulement ils ne peuvent pas gagner la guerre mais la font quand même et envoient des hommes se faire tirer comme des lapins ??????????
                        https://allainjules.files.wordpress.com/2014/07/hamas1.jpg
                        le Hamas qui fait la guerre à Israël, avec l’aide que lui ont porté la Syrie ("de Bachar al Assad") et l’Iran, avec une couverture médiatique qatari par son média propagande sioniste Al Jazeera qui a trouvé une occasion en or pour taper sur l’Egypte et sa tête maudite Al Sissi (le pion de Al Saoud) qui a fait chuter Morsi, le pion des Qatari, le Qatar et l’Arabie saoudite qui se font la guerre chez les autres (Syrie et l’Irak) par l’intermédiaire des djihadistes, chacun ses groupes etc etc...



Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Publicité





Palmarès