• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > L’énorme arnaque de la dette française

L’énorme arnaque de la dette française

En 20 ans, la France aurait pu et dû économiser 1000 milliards d'euros, que l'Etat a dépensé uniquement pour payer les intérêts de la dette à des financiers privés, auxquels s'ajoutent 1000 milliards d'évasion fiscale et 500 milliards de cadeaux fiscaux. Soit un manque à gagner de 2500 milliards, au détriment du financement de l'investissement et de la protection sociale. Un véritable scandale, qui ne peut cesser, que si l'Etat reprend son pouvoir régalien d'émettre la monnaie et impose son autorité à la finance. 

Tags : Arnaque ? Monnaie Dette Finance




Réagissez à l'article

35 réactions à cet article    


  • 3 votes
    Sonya V... Sonya V... 25 septembre 2018 09:19

    Pour ne pas s’endetter il faudrait employer les méthodes du clan Sarkozy : prendre le cash directement sur les palettes de billets fraichement imprimés par une banque centrale européenne (avec éventuellement un petit passage par un pays pas trop regardant comme la Libye, pour brouiller les pistes façon Pieds Nickelés) :
    ce passage de l’interview de Fabrice Arfi est juste savoureux... (de 48:43 jusqu’à 55:13) quand Boris Boillon (un "Sarko boy") se fait pincer par les douaniers avec 350 000 euros de billets jamais mis en circulation... smiley (pas de dettes comme ça... l’argent imprimé passe directement dans les mains de celui qui en a besoin...)
     
    Toute l’interview est édifiante : l’ensemble du clan Sarkozy croupirait en prison dans un pays où la corruption ne serait pas le mode de fonctionnement endémique des institutions du pouvoir...



    • 2 votes
      bob14 25 septembre 2018 09:26

      Faudrait p’être arrêter de mettre aux commandes des voyous non ?


      • 3 votes
        Maetha 25 septembre 2018 09:31

         C"est tout simple.

         Le complément qu’il fallait pour expliquer le jeu médiatico-politique auquel on assiste depuis plus de trente ans... et sa caricature de plus en plus minable dans laquelle on nous fait mijoter depuis 2007.

        • 1 vote
          ged252 25 septembre 2018 09:50
          N’importe quoi, l’état ne peut pas s’autofinancer gratuitement, Giscard est innocent,
          .
          La dette c’est la dette de l’Etat, ce sont les politiques qui en sont responsable et non les banques.
          Si l’Etat n’empruntait pas les banques ne s’enrichiraient pas autant.
          .
          Si on avait conservé l’ancien système, au lieu d’avoir des intérêts à payer, le franc se serait dévalué, ou l’euro, le résultat aurait été le même.
          .


          • 8 votes
            Liberté Verdi 25 septembre 2018 09:53

            @ged252

            Totalement faux, votre propagande ultra-libérale ! C’est vous qui racontez n’importe quoi ! 


          • vote
            ged252 25 septembre 2018 10:13

            @Verdi

             les intérêts de la dette à des financiers privés, auxquels s’ajoutent 1000 milliards d’évasion fiscale et 500 milliards de cadeaux fiscaux. Soit un manque à gagner de 2500 milliards,

            .

            Quelles sont vos sources ... ?

            .

            Il ne suffit pas d’affirmer quelque chose pour que ce soit vrai


          • 10 votes
            medialter medialter 25 septembre 2018 10:13

            @ged252
            "ce sont les politiques qui en sont responsable et non les banques"

            *

            Dire qu’il y en a qui ne savent toujours pas que les politiques sont les laquais de la finance international. Et ça vient donner des leçons smiley


          • vote
            ged252 25 septembre 2018 10:13

            @Verdi

            votre propagande ultra-libérale !

            .

            je ne suis pas ultra libéral !


          • vote
            ged252 25 septembre 2018 10:15

            @medialter

            Dire qu’il y en a qui ne savent toujours pas que les politiques sont les laquais de la finance international.

            .

            Est-ce que j’ai dis le contraire .. ?


          • vote
            ged252 25 septembre 2018 10:16

            @medialter

            Si l’Etat n’empruntait pas les banques ne s’enrichiraient pas autant.

            .

            ça ne sait même pas lire, Et ça vient donner des leçons 


          • vote
            ged252 25 septembre 2018 10:21

            @medialter

            Et ça vient donner des leçons  smiley

            .

            Où est-ce que j’ai donné une leçon ?  smiley


          • 7 votes
            medialter medialter 25 septembre 2018 10:23

            @ged252
            "Si l’Etat n’empruntait pas les banques ne s’enrichiraient pas autant"

            *

            MDR smiley Mais c’est qui, l’état, à part lesdits laquais, placés là par la haute finance ?


          • vote
            ged252 25 septembre 2018 10:39

            @medialter

            Et ça exonère les dits laquais de toute responsabilité ?


          • vote
            ged252 25 septembre 2018 10:37
            Au moins, on ne me dira pas que je n’ai pas de la suite dans les idées :

            .
            La FRED, la FED /
             ;
            Second, why does hyperinflation occur ? Generally, it’s because the government takes over the central bank and finances its operations by printing money. As people see this occurring, money loses value and the government has to print even more to stay afloat. This vicious circle can then be broken only by a radical change of practice : In Zimbabwe, that was abandoning the use of the local currency, which is indeed radical,

            • vote
              Et Hop ! 26 septembre 2018 00:23

              @ged252 : On connaît l’argument qu’il fallait que l’État ne puisse plus bénficier de facilités de trésorerie gratuite de la BdF, parce que ça créait du déficit et de l’inflation, c’était pour le rendre vertueux.

              Or le déficit et l’inflation en France ont commencé à augmenter de façon très importante à partir de 1974, après que cette mesure a été prise.

              Le but de la manoeuvre est de voler chaque année au Trésor public français 45 milliards par an d’intérêts, soit la totalité des recettes de l’impôt sur le revenu.

              De même que l’État doit être son propre assureur, il doit être son propre financeur. 

               Pour les véritables investissements, il y avait un moyen très sain et très simple : les emprunts obligataires réservés aux Français, pour que les intérêts payés par l’Etat restent dans léconomie française.


            • vote
              ged252 25 septembre 2018 10:43
              Le but de la loi de 1973, c’était d’éviter que les politiques, par démagogie n’emprunte de façon irréaliste, pour financer leurs campagne électorale, ou les promesses faites au cours de ces campagnes électorales.
              .
              Si les politiques sont libres d’emprunter, ils le feront de façon irresponsable ; alors que là ils sont limité par les intérêts à payer

              • 1 vote
                zevengeur 25 septembre 2018 11:23

                @ged252

                L’argument que vous évoquez est recevable, mais il n’en est pas moins exact qu’en 2007, à montants empruntés égaux la dette aurait été quasiment nulle si la BF avait pu faire des avances sans intérêts au trésor.

                L’article ici détaille tout cela, sources à l’appui.


              • vote
                ged252 25 septembre 2018 11:31

                @zevengeur

                Merci pour l’info, je vais regarder


              • 1 vote
                Joe Chip Joe Chip 25 septembre 2018 12:35

                @ged252

                Ah ! Je croyais que le fétichisme de la loi de 73 était passé un peu de mode mais régulièrement on voit quelqu’un débouler en nous expliquant que tout est la faute de la loi de 73 alors qu’il a été démontré depuis longtemps - y-compris par des personnes clairement identifiées à gauche - que cette loi n’avait fait qu’introduire des changements mineurs dans le mode de financement de l’Etat. 

                L’idée selon laquelle avant 73 l’Etat aurait disposé d’une corne d’abondance pour financer la dépense publique est de la pensée magique. De Gaulle avait fait de l’équilibre de "la balance des paiements" le point cardinal de sa politique économique, et il était souverainiste et pas ultra-mégalibéral. 

                L’endettement a des explications beaucoup moins farfelues : la crise pétrolière, le chômage de masse et l’augmentation du nombre de retraités.


              • 1 vote
                zevengeur 25 septembre 2018 13:54

                @Joe Chip
                 Pour ceux -et ils ne sont pas nombreux- qui ont compris ce qu’était qu’une monnaie, le financement d’un déficit ponctuel par des prêts de la BC au trésor n’est pas du fétichisme.
                Le terme "planche à billet" utilisé par ses détracteurs est déjà une rhétorique tendancieuse.

                Il ne s’agit en aucun cas de croire que la dite planche à billet est une manne dans laquelle on peut puiser en mode "open bar", en revanche lors d’un déficit ponctuel et conjoncturel, rien ne s’oppose à une création monétaire de la part de la BC. A condition bien entendu que cette opération ne devienne pas systématique et que l’état rembourse sa dette à la BC par destruction de la monnaie précédemment créée.

                Dans ce cas, il n’y a aucun risque d’inflation.

                Et donc, aujourd’hui à partir du moment où on s’est financé sur les marchés, on en arrive à un service de la dette annuel (*) d’environ 50 Milliards que l’on paie à la finance, ce service contribuant alors au déficit : cercle vicieux.

                Après, je suis bien d’accord que l’on doit tout faire pour arriver à l’équilibre des comptes de l’état, cependant à force de faire des cadeaux aux multinationales (y compris la tolérance de leurs "optimisations" fiscales massives), ce ne sont pas les dépenses qui sont trop élevées mais les recettes qui diminuent comme peau de chagrin.
                Je rappelle que la loi de 1973 est postérieure à la période CDG, et comme Pompidou est un ancien de chez Rothschild, on peut le soupçonner de ne pas avoir été complètement neutre dans cette mesure.

                (*) Intérêts payés sur une dette d’environ 2000 Milliards, et encore avec des taux d’intérêts conservés au plus bas par la BCE, soit environ 2.5% en moyenne (2.5% * 2000 = 50).


              • 1 vote
                Joe Chip Joe Chip 25 septembre 2018 15:34

                @zevengeur

                Pour ceux -et ils ne sont pas nombreux- qui ont compris ce qu’était qu’une monnaie, le financement d’un déficit ponctuel par des prêts de la BC au trésor n’est pas du fétichisme. 

                Ce n’est pas ce que j’ai dit, et ce n’est pas le sujet. Le fétichisme c’est de considérer que la loi de 73 est à l’origine voire est la cause de l’endettement français en contraignant l’Etat à se financer sur les marchés. Quand on maintient cette croyance à l’encontre des faits, cela devient du "fétichisme". 

                Le terme "planche à billet" utilisé par ses détracteurs est déjà une rhétorique tendancieuse.

                Ca tombe bien alors, car je ne l’ai pas utilisé.

                 lors d’un déficit ponctuel et conjoncturel, rien ne s’oppose à une création monétaire de la part de la BC

                Ce que la loi de 73 n’empêchait pas, ayant précisément anticipé ce type de scénario "conjoncturel" :

                fixe les modalités des concours de trésorerie apportés par la banque centrale au Trésor : ce dernier peut emprunter jusqu’à 20,5 milliards de francs dont 10,5 milliards gratuitement et 10 milliards sur lesquels il paiera des intérêts très faibles

                Mais à quoi correspond ce montant ? Pourquoi limiter les prêts de la banque centrale au Trésor à 20,5 milliards de francs ? La réponse est extrêmement simple : c’est tout simplement l’officialisation de ce qui existait avant. C’est ainsi que le rapporteur général le présente et c’est effectivement la conclusion à laquelle on arrive en étudiant les séries historiques : la loi de 1973 n’a fait que codifier, simplifier et officialiser une situation existante.

                C’est le traité de Maastricht de 93 qui l’a formellement interdit.

                On confond en réalité plusieurs choses différentes, la logique de dénationalisation progressive de la capacité des Etats à s’endetter (qui ne concerne pas uniquement la France), un processus que l’on peut d’ailleurs critiquer et dénoncer, la dérégulation financière et la notion d’équilibre budgétaire. 

                Tous les pays développés se sont tendanciellement endettés au cours des 30 ou 40 dernières années, pour des raisons sensiblement similaires. Ce n’est donc pas une loi (française qui plus est) qui est la cause de l’endettement. 

                Mais le premier mécanisme de la dette est démocratique : chaque année depuis 1974 le gouvernement français a voté un budget en déficit. Ces choix ont été validés et renouvelés en toute connaissance de cause par les électeurs. Avec l’inflation et les causes structurelles évoquées plus haut, la limite posée par la loi de 73 s’est vite révélée dérisoire. 

                Je rappelle que la loi de 1973 est postérieure à la période CDG, et comme Pompidou est un ancien de chez Rothschild, on peut le soupçonner de ne pas avoir été complètement neutre dans cette mesure.

                Ca ce sont de pures insinuations, pas un argument. 

                Il est quand même amusant que ceux-là mêmes qui dénoncent sans arrêt la logique de l’endettement soient aussi ceux qui combattent le plus l’idée de tout retour à l’équilibre budgétaire.    



              • vote
                ged252 25 septembre 2018 18:35

                Je pense que ce sont les hommes politiques, davantage que la finance qui sont à l’origine de la dette.


              • 1 vote
                Et Hop ! 26 septembre 2018 00:28

                @ged252 : Il suffisait de faire une loi interdisant de voter un budget en déséquilibre, punir de prison le directeur du Trésor qui signe une loi de finance avec un déficit, et de confiscation de leurs biens les députés qui la votent.

                Le déficit et l’endettement de l’État ont explosé APRÈS que cette mesure ait été prise prétenduement pour limiter l’endettement.


              • vote
                Belenos Belenos 26 septembre 2018 00:42

                @Et Hop !

                Vrai. La Cour des comptes est justement faite pour ça. 

                https://fr.wikipedia.org/wiki/Cour_des_comptes_(France)


              • 1 vote
                Joe Chip Joe Chip 26 septembre 2018 02:16

                @Et Hop !

                Il suffisait de faire une loi interdisant de voter un budget en déséquilibre, punir de prison le directeur du Trésor qui signe une loi de finance avec un déficit, et de confiscation de leurs biens les députés qui la votent.

                Mais bien sûr, une bonne petite loi sovietoïde, et hop, plus de déficit ! Comme disait Tonton Staline, pas d’homme, pas de problème. Un bon bouc émissaire facile à désigner, et plus d’histoire. Au goulag le directeur du Trésor avec toute sa famille, c’est de sa faute ! 

                   

                @Belenos

                Vrai. La Cour des comptes est justement faite pour ça. 


                Et non, la cour des comptes a un rôle purement consultatif. La responsabilité incombe aux politiques et à ceux qui les élisent. Cela fait 30 ans que la cour des comptes alarme sur le déficit public dans l’indifférence générale, qu’est-ce qu’il faut faire ? Une loi pour que les gens écoutent ? Une autre pour qu’ils acceptent ses préconisations ?  

                Incroyable de voir une telle résistance cognitive face à un constat simple et impossible à contourner, celui de la responsabilité collective en matière d’équilibre budgétaire. C’est la faute à la loi de 73, à Rothschild, à la Cour des Comptes, à l’UE, à tout le monde sauf aux électeurs et aux politiques qu’ils ont amené aux responsabilités en échange de promesses démagogiques.

                Comme je l’ai dit, le déficit a augmenté autour de cette période dans l’ensemble des pays développés et non pas seulement en France à cause d’une loi de clarification qui a été passée durant la même période. Une simultanéité n’est pas forcément révélatrice d’un lien de cause à effet (complotisme). 

                Pour l’économie, qu’il s’agisse des prix et des salaires ou bien des dépenses publiques ou bien des changes et du crédit, les limitations, les contrôles voulus, sont absolument nécessaires jusqu’au retour complet à l’équilibre. Ceci pour que nous puissions sauvegarder la balance de nos paiements, consolider dans la réalité, les accroissements de rémunération qui ont été apparemment fixés dans les chiffres. Faire en sorte que nous vendions au dehors au moins autant que nous y achetions. Bref, empêcher, que la supercherie de l’inflation ne nous fasse glisser au gouffre de la ruine et de la misère, comme jadis le chant des sirènes faisait tomber les marins dans la mer.

                (Charles de Gaulle, voeux 1969)


              • vote
                Belenos Belenos 26 septembre 2018 03:18

                @Joe Chip

                "Et non, la cour des comptes a un rôle purement consultatif."

                Je n’avais pas le temps de développer mais mon intervention n’avait que pour but de soutenir Et Hop dans sa réfutation de l’argument selon lequel les élus seraient inexorablement incontrôlables dans leurs dépenses en l’absence de l’obligation pour l’Etat d’emprunter à des organismes privés. La création d’une autre loi aurait très bien pu avoir lieu dans une direction différente, en donnant par exemple des pouvoirs plus étendus non seulement à la Cour des comptes mais aussi à la Cour de discipline budgétaire et financière (CDBF) qui, loin d’avoir seulement un rôle consultatif, a pour mission de juger les ordonnateurs sur la base des rapports effectués par la Cour des comptes "afin de sanctionner les actes des agents publics constituant des fautes lourdes ou des irrégularités dans la gestion des finances publiques." Certes les pouvoirs de ces cours ont actuellement des limites vis à vis des élus, indiquées dans les liens ci-dessous, mais tout cela est la conséquence de choix politiques. Par ailleurs, j’ai bien compris que la mise en accusation de la loi de 1973 est souvent trop systématique et naïve. 

                http://www2.assemblee-nationale.fr/decouvrir-l-assemblee/role-et-pouvoirs-de-l-assemblee-nationale/les-institutions-francaises-generalites/la-cour-des-comptes

                http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/finances-publiques/ressources-depenses-etat/controle-finances-etat/qu-est-ce-que-cour-discipline-budgetaire-financiere.html


              • vote
                Belenos Belenos 26 septembre 2018 03:27

                @Joe Chip
                "Incroyable de voir une telle résistance cognitive face à un constat simple et impossible à contourner, celui de la responsabilité collective en matière d’équilibre budgétaire."

                Je suis d’accord avec vous sur ce point et je m’étonne aussi de l’aveuglement collectif à ce sujet. La loi de 1973 n’est pas responsable de tout, bien entendu. Pour autant, cela ne signifie pas que c’est une bonne loi et encore moins qu’elle était, même en son temps, la meilleure loi possible, ni qu’elle fut proposée et votée dans l’unique souci du bien commun (c’est en tout cas discutable). Il y a ici plusieurs niveaux de raisonnement qu’il ne faut pas confondre sinon chacun parle de son étage sans apercevoir les autres. 


              • vote
                ged252 26 septembre 2018 10:03

                @Et Hop !

                Le déficit et l’endettement de l’État ont explosé APRÈS que cette mesure ait été prise prétenduement pour limiter l’endettement.

                .

                Je ne le pense pas.

                AVANT il y avait un autre système qui a dû être abandonné, et qui ne permettait pas aux homme politique d’endetter inconsidérément les pays.

                .

                1971 - 1973.
                Fin de l’ « étalon or-dollar » et passage à un système monétaire international de changes flottants.

                .

                Le système mis en place est en lien avec la fin de l’étalon or, mais je ne sais pas de quelle façon.


              • 1 vote
                ged252 26 septembre 2018 10:08

                @Joe Chip a dit :

                C’est la faute à la loi de 73, à Rothschild,

                .

                le déficit a augmenté autour de cette période dans l’ensemble des pays développés et non pas seulement en France

                .

                Voilà ... !


              • vote
                ged252 26 septembre 2018 18:48

                @pegase

                l’inflation permettait aussi d’éviter que les vieux ne cumulent des bas de laines énormes, de l’argent qui dort et ne sert pas à l’économie réelle .....

                .

                ok ; Ils ont besoin d’un peu d’inflation pour que les gens mettent leur argent à la banque


              • 1 vote
                Le Celte 25 septembre 2018 10:53

                Toutes ses magouilles résument à elles seules le constat que public politique et privé finance sont dans le même bateau...et quand le bateau coule c’est kiki reste ?


                • vote
                  PumTchak PumTchak 25 septembre 2018 13:38
                  Je signale aux administrateurs du site qu’il y a un bug informatique sous les articles de Verdi : c’est le seul endroit où les commentaires disparaissent au fur et à mesure que je les envoie.

                  Ou alors c’est un croisement avec Snapchat ?

                  • vote
                    Le Celte 26 septembre 2018 08:45

                    Temps que la masse de débiles majoritaires croiront que l’argent est un but vital, les dettes s’amplifieront. Depuis la découverte des trous noirs dans la galaxie, les mecs pensent qu’absorbé l’énergie des autres permettra à tous de mieux être, putain quel résonnement de con !


                    • vote
                      Le Celte 26 septembre 2018 08:55

                      Punaise ! je ne suis pas bien là ! pardon...

                      "croira"..."qu’absorber" et "raisonnement"...
                      C’est sûr qu’avec une telle orthographe les gars du CAC n’ont plus aucun souci à se faire.

                      • 2 votes
                        Pyrathome Pyrathome 26 septembre 2018 20:36

                        Un véritable scandale, qui ne peut cesser, que si l’Etat reprend son pouvoir régalien d’émettre la monnaie et impose son autorité à la finance. 

                        Bonsoir, entièrement d’accord avec vous !
                        Conclusion ?
                        Il faut donc sortir de l’UE, de l’euro et dans la foulée de l’otan....
                        Il n’y a qu’un seul chef de parti qui propose le FREXIT clairement et distinctement depuis plus d’un lustre, je vous laisse deviner qui ?......( exit les JLM, MLP, Dupont Aignant , Philippot qui mènent tout le monde en bateau sur ce sujet......)


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON

Auteur de l'article

Liberté

Liberté
Voir ses articles


Publicité





Palmarès