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Accueil du site > Tribune Libre > L’imposture écologiste - Chapitre 1

L’imposture écologiste - Chapitre 1

 

Série d’entretiens avec Christian Laurut à propos du livre "L’imposture écologiste".
Site de l’auteur : http://www.christianlaurut.com

 

Tags : Ecologie Décroissance




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27 réactions à cet article    


  • 3 votes
    funambule funambule 19 février 2014 10:11

    Un écologiste est un partisan de l’écologisme, c’est-à-dire un courant de pensée respectueux des équilibres naturels, qui promeut la préservation de l’environnement, des sociétés et des ressources naturelles contre les ravages de la société industrielle. De nombreux militants de l’écologie politique considèrent que l’écologie dépasse largement le strict cadre environnementaliste (protection des ressources naturelles) et jugent les questions sociales et sociétales aussi importantes que les questions environnementales.
    wikipédia.
    Donc titre provocateur mais pas très pertinent.
    Si je soigne ma soif en buvant, je ne détourne pas la médecine.

    Sinon, sur le reste, vous ne parlez que de l’incertitude de trouver des énergies utilisables (transportables) après les énergies fossiles ... certes, mais les humains devront bien faire sans de toutes façons !
    On ne fera pas voler un airbus avec des panneaux solaires.
    Certes, mais où ailleurs que dans vos rêves avez-vous vu des écologistes dire le contraire ?


    • 6 votes
      Laurut christian Laurut christian 19 février 2014 10:32

      L’écologisme est une invention politicienne, dont je démonte (mais je ne suis pas le seul à le faire) les mécanismes dans les chapitres suivants. L’écologie, par contre, existe bien, en tant que science neutre et objective étudiant les lieux et conditions d’existence des êtres vivants ainsi que les rapports qui s’établissent avec leur environnement. Et ses praticiens s’appellent les "écologues". Le détournement sémantique constitue la première des nombreuses impostures perpétrée par les écologistes. Et votre copier-coller de la définition du Wikipedia communautaire n’y change rien..... Quant aux écologistes qui pensent que les avions voleront à l’électricité solaire, ils sont très nombreux (voire unanimes). C’est précisément cela, leur fameux "mix énergétique" pour se "développer durablement". Vous devez sans doute confondre avec les "décroissants" (voir Chapitre 4 à suivre......).


    • 1 vote
      ffi 19 février 2014 14:46

      C’est tout-à-fait évident que les concepts du "mix énergétique" sont assez farfelus.
       
      L’énergie solaire ou éolienne sont d’intensité très faibles.
      Pour produire une grande quantité d’énergie à partir de cela, il faudrait multiplier grandement les quantités d’infrastructure, ce qui exigerait une grande quantité d’énergie, tant pour l’édification que pour la maintenance.
      Même si c’était possible (ce que je ne crois pas), même du point de vue de l’écologie, ce serait au final problématique.
       
      Maintenant, il y a possiblement aussi une autre "imposture".
      À la base, le mot pétrole signifie "huile de pierre". Or il est couramment appelé "énergie fossile", et l’on comprend donc ainsi qu’il serait tiré d’une vie morte fossilisée. Il y a un coté un peu subliminal dans cette appellation.
       
      En effet, a-t-il vraiment été démontré que le pétrole était issu d’un résidu de vies mortes ? Il existe aussi des théories qui disent le contraire, comme par exemple celle du pétrole abiotique (sur laquelle la communauté Wikipédienne interdit toute écriture neutre et non orientée). Le pétrole contient en effet des quantités de souffre nettement plus importantes que les êtres vivants.
       
      L’on sait que sur d’autres planètes, telles que Titan, les hydrocarbures sont chose courante. Or, y a-t-il eu de la vie sur Titan ? Les hydrocarbures sont mêmes détectés dans les spectres mesurés du milieu spatial. Y-a-t-il de la vie dans l’espace ?
       
      En tout cas, pour ce qui est du gaz naturel, je crois que plus personne n’ose dire qu’il s’agit là d’une énergie tirée d’une vie fossilisée, étant donnée les quantités disponibles.
       
      Vous me semblez donc trop pessimiste.
      Rien n’assure que le pétrole soit une énergie fossile.
       
      Certes on va me dire "c’est le consensus de la communauté scientifique"...
      Je répondrais :
      "Certes, mais toute communauté est basée sur une foi, qui est le consensus nécessaire à son édification en tant que communauté. Ainsi, tout homme qui n’adhèrerait pas à ce consensus serait exclu de ladite communauté. Par conséquent, le consensus est un impératif de foi communautaire, non une vérité scientifique"...
       
      Franchement, depuis quand les scientifiques forment-ils une communauté ?
      Seraient-ils des moines ? Leur laboratoires seraient-ils des monastères ?
      Voyez dans quel n’importe quoi en sont nos sociétés...
       
      Les scientifiques sont conformés à certaines idées préétablies sous l’injonction d’impératifs communautaires qui doivent faire consensus, faute de quoi leur carrière est menacée.
       
      L’idée d’énergie fossile en est une, de même que l’idée de réchauffement climatique d’origine anthropique. Cela montre que les dés sont pipés.
       
      Les scientifiques ont été mis en communautés qui obéissent à des consensus, ceci sous le regard vigilant de leurs paires (= des curés).
       
      C’est d’ailleurs la même chose pour les journalistes, mis en communauté dans les sociétés de journalistes, sous le regard vigilant de leurs paires...
       
      Ces sociétés professionnelles fonctionnent de la même manière que Wikipédia. Personne n’est responsable de rien et tout le monde se mêle de tout...
       
      Au résultat : personnalités lisses et conformes, "ne pas faire de vague", rester dans les clous du consensus.


    • 3 votes
      Laurut christian Laurut christian 19 février 2014 16:16

      Rassurez vous, je ne vais pas vous faire le coup du consensus, d’autant que je m’en défie largement, notamment à propos du GIEC dans un Chapitre ultérieur (Chapitre 7 - Qui a peur du réchauffement ?).

      La théorie ukrainienne du pétrole abiotique existe, et elle ne peut être ignorée. Si elle est exacte, le pétrole doit être classé dans les ressources renouvelables, et sa déplétion n’aura pas lieu. Mais à part un exemple ou deux (expliqués par les géologues orthodoxes), aucun puits asséché ne s’est à nouveau rempli. Alors attendons le miracle ! Pourquoi pas ? Mais pour l’instant nous ne voyons rien venir, et cela ne modifie en rien mon propos sur l’imposture écologiste.


    • 1 vote
      Daniel D. Daniel Q. 20 février 2014 04:29

      Cher Christian, il y as un détail que vous devriez modifié dans votre compréhension du pétrole.

      Le pétrole abiotique est extrêmement couteux a produire en terme d’énergie. Le pétrole biotique quant a lui est déjà reproductible et reproduit. Le pétrole est renouvelable et on le sait depuis très longtemps en France (la méthode est même breveté et donc disponible a tous). Cherchez pétrole Laigret et vous verrez depuis quand on sait le faire.

      A Alicante, une autre méthode pour produire du pétrole est en cours d’exploitation, cherchez pétrole bleu, c’est a base d’algue et de soleil plus ou moins.

      Le pétrole n’est rare que par l’envie d’en garder le contrôle par les petro-profitants, rien d’autre.


    • vote
      ffi 20 février 2014 07:34

      PeQase :
      Rien que le fait de parler en GigaWatt est une imposture.
      L’énergie se compte en Watt-heure.
      Combien d’énergie produiront ces mastodontes ?
      Impossible à prévoir... ça dépend du vent.
       
      Or cette intermittence est un énorme problème. Pourquoi ?
      Parce que si le réseau électrique est sous-alimenté, il flanche.
      Par conséquent, ces infrastructures de captage d’énergie intermittentes, non seulement sont des structures pharaoniques (donc énormément de fer et de ciment à prélever de l’environnement), mais en plus il faut encore les doubler de centrales thermiques pour parer au cas où elle ne produisent pas... D’autre part, je ne vous explique pas la quantité de béton qu’il va falloir injecter dans le sous-sol pour réussir à stabiliser ces tours qui vont mesurer jusqu’à des centaines de mètres. J’imagine le massacre du milieu sous-marin... Et puis les oiseaux charcutés par milliers.
       
      En fait, il faut bien comprendre l’astuce de l’éolien :
      Construire une éolienne permet de vendre des droits à polluer sur le marché.
      Donc, même si elles ne produisent rien du tout, c’est déjà rentable sur les marchés financiers...
       
      En fait l’éolien est un parasite de l’énergie nucléaire.
      L’éolien ne peut pas se passer du nucléaire et du thermique
      D’une part pour les raison de tenue du réseau expliquée plus haut.
      D’autre part, parce que leur production (certainement toujours très surestimée pour raison de maximisation du commerce des droits à polluer) est racheté à un prix très supérieur à celui du marché.
       
      L’éolien, c’est une bulle.
      Quant à Alstom... Vu la dégénérescence de nos élites...
       
      @Laurut Christian :
      Pétrole abiotique : anomalies expliquées par les théories "orthodoxes" ?
      (bizarre ce "orthodoxe", ça fait religieux ça, non ?)
      C’est l’hypothèse de la migration : le pétrole migrerait à travers les roches.
      Remarquez que c’est ce que dit aussi la théorie du pétrole abiotique, le pétrole migrerait, mais depuis l’intérieur de la Terre (par des failles, donc).
       
      C’est hypothèse contre hypothèse.
      Une contre-hypothèse ne prouve rien.
      Il n’y a donc pas moyen de trancher pour l’instant.
       
      A ce propos, il y a eu une éruption de pétrole dans le puy de Dôme l’an dernier.
      Pas mal chargé de Souffre hélas, comme au puy de la Poix, source naturelle de bitume qui montre émanation de méthane et de sulfure d’hydrogène.

      Or le Sulfure d’Hydrogène, c’est une émanation volcanique, n’est-ce pas ?
      Mais ce n’est peut-être pas votre domaine,
      je vois que vous êtes de formation École de Commerce.


    • vote
      ffi 20 février 2014 19:15

      Non, c’est toi qui a parlé de GW.
       
      Une centrale nucléaire a une production en continu.
      Une tranche produit une puissance d’environ 1,5 GW tant qu’elle est laissée en fonctionnement. Si elle tourne pendant 1heure, elle produira ainsi 1,5 GW-heure d’énergie.
       
      Tel n’est pas le cas d’une éolienne.
      Une éolienne au Large produit 6 MW pour les plus grandes, ceci quand les conditions sont optimales, c’est-à-dire avec du vent mais pas trop.
      Par exemple, en France, en 2011, le parc installé était de 6.750 MW.
      Il y a 31.536.000 seconde en une année.
      Ce parc, s’il avait produit de manière parfaite, aurait donc dû produire une puissance de
      212.868 TéraWatt.
      Il y a 3600 secondes par heure.
      Cela fait donc une production optimale d’énergie de 59,13 TéraWatt-heure.
      Or la production fut de 12,2 TeraWatt-heure.
      Le rendement fut donc de 20,3 %.
       
      Ton parc éolien de 4GW en construction au Nord de l’Écosse, consiste en fait en la construction de 4.000/6 = 666 éoliennes de 6MW. Supposons un rendement de 40% (je suis gentil je double, mais c’est vrai que c’est en mer). Il produira donc 14 TéraWatt-heure d’énergie.
       
      Cela produira en gros la moitié des 4 tranches d’une centrale nucléaire comme celle du Blayais, qui produisit 26 TeraWatt-heure en 2006. Donc disons deux tranches, la moitié de cette petite centrale qui fait moins d’un km carré.
       
      Voilà une bonne illustration de ce que j’affirmais.
      La densité d’énergie du vent est faible.
      Pour récolter une énergie de densité infime, il faut multiplier les infrastructures à l’infini.
       
      Ainsi, plutôt que de construire une moitié de centrale nucléaire, pour un résultat équivalent, il faut construire 666 Tours d’une centaine de mètre de haut, et pour stabiliser leurs fondations dans le sol, il faut injecter des tonnes de béton à leur base... A vue de nez, il faut donc multiplier par mille la quantité de matériaux nécessaires. Cela nous emmène très loin du principe de moindre action...
       
      Quant à l’histoire des "retours sur investissement". C’est normal, l’éolien est subventionné à fond, les capitaux afflux sur lui, car, d’une part, il permet d’obtenir des droits à polluer négociables sur les marchés financier, et, d’autre part, les divers États font tout pour que soit achetée l’électricité qu’elles produisent à un coût très inférieur à son coût réel. Mais c’est une bulle qui explosera.
       
      C’est que le principe de départ est faux.
      Prôner de récolter une énergie de densité infime, revient à multiplier à l’infini les infrastructures, et donc multiplie d’autant les prélèvements dans l’environnement, tant pour leur édification que pour leur maintenance ultérieure (car il faut aussi penser à la maintenance, rien n’est éternel).
       
      C’est d’ailleurs à mon avis la maintenance qui va montrer la limite du système.
      En effet, édifier, cela ne se fait qu’une fois, et avec beaucoup d’énergie, l’on peut édifier beaucoup. Mais maintenir, cela de se faire tout le temps... Aujourd’hui, c’est tout beau tout neuf. Mais quand ce sera laid et vieux...


    • vote
      ralph 20 février 2014 20:44

      "On ne fera pas voler un airbus avec des panneaux solaires"

      Aujourd’hui certainement, demain...nous ne savons rien...

      Dans le hall de l’aéroport d’Amsterdam (il me semble) il y a une maquette d’un petit avion avec des panneaux photovoltaiques sur les ailes qui a bien volé...

      Sur internet il y a Solar Impulse, un petit avion photovoltaique...

      Mais bien sûr, l’énergie solaire on n’a pas encore trouvé le moyen de la taxer...


    • 5 votes
      Ozi Ozimandias 19 février 2014 11:03

      A mon avis, vous vous trompez d’angle d’attaque même si votre constat est juste, car ce n’est pas l’imposture écologiste mais l’imposture du greenwashing (le capitalisme repeint en vert), car aujourd’hui un grand nombre d’écologistes sont passés de la vision developpement durable à la vision décroissance, et encore une foi ils sont en avance sur leur temps !
      .
      A 3min30 vous dîtes :" les médias qui sont largement noyautés par les écologistes" Faux ! les médias sont largement noyautés par les capitalistes et appartiennent aux grands groupes capitalistes... les écologistes sont totalement boycottés (suffit de voir comment le scandale de l’aéroport de nantes ou de fukushima ont été traité)...


      • 4 votes
        Laurut christian Laurut christian 19 février 2014 14:23

        "Ecologisme" et "greenwashing" sont pour moi synonymes, sinon expliquez moi la différence... Mais ne vous hâtez surtout pas, réfléchissez bien, je ne suis pas pressé. Si grand nombre d’écologistes sont passés à la vision décroissante comme vous le dites (mais j’en doute et je suis assez bien placé pour le savoir !...), ils sont donc devenus décroissants et ne sont donc plus écologistes. Par conséquent, mon propos ne les concerne pas. CQFD ! Dans le cas contraire, vous feriez l’erreur de confondre les deux, ce qui ne serait pas du goût de M. Cohn Bendit (voir chapitre 4 - Les décroissants sont-ils cinglés ?).
        Quant aux médias, ils sont bien entendus noyautés par les capitalistes, c’est à dire également par les capitalistes verts (de type Al Gore, Jancovici, Hulot, Grandjean, etc...), donc des écologistes (voir chapitre 5 - Une nouvelle forme de capitalisme)


      • 3 votes
        Ozi Ozimandias 19 février 2014 15:24

        Si vous pensez que écologisme et greenwashing sont la même chose alors pourquoi n’avoir pas pris comme titre : l’imposture du greenwashing ! qui aurait été bien plus constructif que l’assimilation écologistes/imposteurs comme si tout les écolos avaient toujours eut la même vision, compréhension et pratique de l’écologie... 
        .
        De plus la vision développement durable était parfaitement justifiable et réalisable dans les années 70/80, plus maintenant, c’est trop tard (mise à part la découverte d’une énergie libre, infinie et non polluante), bref votre titre est abusivement provocateur, ce dont l’écologie se serait bien passée !
        .
        C’est dommage car le fond est intéressant et nécessaire ...


      • 5 votes
        Laurut christian Laurut christian 19 février 2014 16:03

        L’écologie n’a rien à craindre de mon propos, elle n’est pas en cause. Il s’agit de l’écologisme" et de son imposture. Notez que je parle d’imposture "écologiste" et non pas "écologique". Par conséquent je préfère titrer sur ce que les gens connaissent (l’écologisme) et non sur ce qu’il ne connaissent pas (le greenwashing), puisqu’il s’agit bien de démasquer un détournement de signification.
        Quant au développement durable, je suis totalement OK avec votre analyse, mais je vais un peu plus loin dans le "Chapitre 6 - La plaisanterie du développement durable"


      • vote
         Qanelle Qanelle 20 février 2014 00:18

        Ce titre est parfait, on se serait bien passé de vos commentaires aussi.

        Mais se n’est pas obligatoire. Savez vous qui sont les écologistes ?
        Je vous corrigerais apres. Ozimandias.

      • 2 votes
        funambule funambule 20 février 2014 10:26

        voilà votre réponse Ozimandias : le titre est fait pour plaire aux gens comme Qanele qui ne s’embarrassent pas de la réalité et ne sont motivés que par leur vision clanique du monde, il y a les méchant et il y a les gentils, c’est le monde de Candy, encore plus ridicule que le monde des bisounours.
        Donc, merci à Qanele de donner sans s’en rendre compte la réponse que Laurut Christian n’ose pas avouer.
        Faut faire vendre, et la haine clanique ça fait plus vendre que l’honnêteté intellectuelle.


      • vote
         Qanelle Qanelle 21 février 2014 00:33

        bonsoir Bananes, je me demande ce qui fou cet ananas sur votre logo, est ce l’étendard de la révolution.

        comme vous voyez je fait l’effort de vous échanger quelques mots. les bisounours je connais pas. clanique : le monde est clanique bien entendu.
        Probablement pas le votre , vous faites certainement partie de ces bobos sympathiques, affublés d’une mission. bon de quoi voulez vous que nous débattions ?
        De la main invisible de Smith adam ? 

      • 2 votes
        ffi 19 février 2014 14:51

        Je t’explique pas le jour où il faudra atteindre la "tertiarité" : autant d’homme, de femme, et de trans. Ils vont s’amuser à les faire leurs listes...


      • 1 vote
        Soi même 19 février 2014 13:25

        La véritable écologie est une affaire de conscience respectueuse de se que la nature nous donnes pour exister .
        C’est une philosophie de vie en réponse au ravage de la société industrialise de sa pollution et surtout une réaction à cette vision ancienne que la nature a la capacité d’absorber de digérer nos inconséquences pollutions.
         C’est avant tous un mouvement qui doit s’inscrire dans la Société Civile et si elle a prit une forme politique, c’est quand réalité elle n’a pas peut trouver sa véritable forme sociétal.
        Sa forme politique est dans une certaine mesure et une caricature se son véritable objectif.

        C’est devenue par sa forme politique un jeux de pouvoir, dans le sens sur le fond cela ne règle en rien sur le fond les problèmes, il y a pas de changement notable, les industriel les plus polluent l’on bien compris, il ont tous un département écologie, non pas pour exercé une préoccupation écologique mais juste revernir leurs images de marque ternies par des pratiques scandaleuses.

        L’écologie politique est devenue un prétexte à pompe à frique pour un gourverement en mal de trouver des recettes nouvelles.
        Elle remplie la fonction d’être un nouveau collecteur d’impôt.
        Qui n’a rien avoir avec la véritable écologie, qui est avant tous un savoir vivre et un savoir être.


        • 1 vote
          ffi 19 février 2014 14:55

          Amen...
          Aux gogos-bobos-bonobo la foi,
          à leurs chef, le machiavélisme.


        • 2 votes
          Soi même 19 février 2014 15:09

          @ ffi Crétin des Alpages, en 50 ans de dégradation du monde la grande l’absence est bien la place de l’écologie dans le monde.


        • 1 vote
          ffi 19 février 2014 15:26

          Quel idéal fait-il consensus politique comme l’écologie aujourd’hui ?
          Tout cela pour... le marché des droits à polluer des multinationales.
           
          Les bobos-bonobos ont la foi du consensus.
          Leurs chefs ont la foi du con t’en suce...
           
          C’est que la pensée bobo-bonobo manque de sel,
          elle est trop fade pour être honnête.


        • vote
          maQiavel maQiavel1983 19 février 2014 14:56

          Très intéressant , j’ attends la suite avec impatience


          • 2 votes
            Latigeur Latigeur 19 février 2014 16:51

            D’accord avec C Laurut pour dire que les écologistes sont devenus des politiciens comme les autres, parfois pires.


            En France la façon dont ils se sont inféodés au PS pour obtenir des postes et des élus et avalent couleuvre sur couleuvre tout en se maintenant dans un gouvernement dont l’écologie n’est manifestement pas la première préoccupation en est l’illustration.

            Sur la deuxième vidéo, je serais plus dubitatif, certes les énergies fossiles vont à terme devenir insuffisantes pour maintenir la croissance actuelle et les énergies alternatives ne sont pas encore disponibles en quantité suffisante pour garantir à l’ensemble des êtres humains les consommation que nous connaissons.

            Cependant je ne crois que nous pouvons éviter retour en arrière aussi important que celui qu’il’annonce.

             Il ne parle pas des économies d’énergies, elle peuvent être de 2 ordres : 
            -en améliorant les rendements énergétiques, dans l’habitat par exemple, nous savons déjà construire des maisons à très basse consommation,
            - en renonçant ou en limitant l’utilisation des outils gourmands en énergie, les transports en avion ou la voiture individuelle pourraient être réservés à des usages précis, urgence médicale par exemple.

            Enfin il me semble que si décroissance il doit y avoir, c’est d’abord l’expansion démographique qu’il faut réduire, le "croissez et multipliez vous" de la Bible n’est plus tenable sur une planète dont nous savons les ressources limitées. 

            • 1 vote
              Laurut christian Laurut christian 19 février 2014 18:59

              Je ne parle pas, en effet, des économies d’énergie, tout simplement parce que, bien que nécessaires et probablement auto-imposées à tous par les contraintes physiques, elles ne feront que repousser le problème de quelques décennies seulement. La loi de l’entropie s’appliquera inexorablement et la disparition progressive des ressources utilisables ne pourra être évitée à terme.

              Pour ce qui concerne la démographie, elle constitue un problème supplémentaire de nature à accentuer les effets de la décroissance économique, et j’en parlerai naturellement à plusieurs reprises dans les chapitres à venir. 


            • 1 vote
               Qanelle Qanelle 20 février 2014 00:30

              Il n’y a pas trop de monde sur terre , il y a trop de riches.

              l’argent c’est le sang des pauvres.
              maison solaires passives 2 homologations en région wallone en 2008.

            • 6 votes
              cassia cassia 19 février 2014 19:44

              Monsieur Laurut Christian a raison !
              Si la prise de conscience ne se fait pas par la raison, elle s’opèrera par la contrainte "écologique"....
              Si j’étais vous, je commencerai à me renseigner sur les plantes sauvages comestibles et le survivalisme (pas à la San Giorgio !)...
              Sinon vous allez l’avoir bientôt dans le C..
              Bref !
              De toute façon, une partie de vous ne pourra subsister au carnage qui s’annonce...
              Vous avez cru pouvoir, dans ce monde moderne factice, échapper à la sélection naturelle, mais c’est sous forme de boomerang en pleine gueule que vos certitudes de "bobo" bien planqués vont vous exploser...
              Tant mieux ! smiley


              • 1 vote
                Elmapelki Elmapelki 20 février 2014 00:49

                Farpaitement cassia, bien balancé.....comme ton déhanché, entre autre !


                ......merci Laurut Christian.....y a une suite ?


                Elmapelki


              • 4 votes
                amest 19 février 2014 22:57

                Pour moi, l’écologie est directement liée au pouvoir d’achat.
                Plus tu gagnes, plus tu dépenses (évidemment). Et plus tu pollues.
                .
                Il n’y a que les pauvres qui sont écolos. Ceux qui ne prennent jamais l’avion, qui doivent calculer pour payer leur nourriture.
                .
                Le reste, c’est de la discussion de salon :)
                J’en connais plein, des écolos propriétaires et nantis.
                Evidemment, la décroissance est inconcevable pour eux... car elle sera(it) très dure à supporter.
                Mais rassurons-nous, ça sera quand même les pauvres qui trinqueront en premier.
                .
                C’est mon avis.
                .
                La première chose à défendre : c’est le sens de l’économie et la durabilité des biens (au lieu de donner des primes à la casse).
                Consommer raisonnablement.
                Mais c’est pas possible, car c’est toujours la finance qui gagnera.



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