Les syndicats sont maintenus par le pouvoir politique qui les arrose en argent public car il a besoin d’eux pour temporiser...
Ils empêchent une vraie émancipation des ouvriers et des salariés en faisant tampon entre la légitime colère et le pouvoir politique.
Illustration concrète : on n’est pas content, et hop une petite manif’ merguez brochette déclarée en préfecture, et on rentre à la maison. Ils canalisent la colère et la réduisent en manif bidon qui leur ont tout fait perdre depuis 40 ans.
Au lieu de réclamer leur vrai du qui est l’appropriation des moyens de production, et la participation aux intéressements, ils réclament 3 francs d’augmentation par mois... et contribuent ainsi à faire vivre à crédit les ouvriers-salariés/consommateurs endettés dans les banques du système qui les oppressent. Les syndicats sont les gardiens communisants (social-traître en réalité) du troupeau, que les loups du grand patronat dévorent à leur guise...
La seule utilité des syndicats concerne les conflits individuels
entre employeur et salarié. Collectivement, ils sont nocifs aux
travailleurs et devraient être supprimés.