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Accueil du site > Tribune Libre > La pénurie d’essence expliquée à Manuel Valls

La pénurie d’essence expliquée à Manuel Valls

Pas de lutte sociale sans souveraineté

 

 

 

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SOURCES 

Pourquoi les blocages sont efficaces :
http://www.huffingtonpost.fr/2016/05/23/penurie-essence-loi-travail-secteurs-carburants-bloque-davantage-autres_n_10102362.html

Survive en grève : 
https://chrhc.revues.org/425

Conseil de lecture :

Comité invisible - À nos amis

 

Tags : Politique Société Pétrole et essence Manifestation Travail Manuel Valls Polémique Myriam El Khomri Loi Travail




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9 réactions à cet article    


  • 1 vote
    Vigneron des Ardennes (---.---.80.101) 1er juin 2016 11:39

    Ce monsieur est un troll, car le pinard ne se "distille" pas, il s’obtient par une ou deux fermentations du raisin, alors le reste de sa vidéo n’est pas crédible pour un kopeck.


    • 2 votes
      izarn 2 juin 2016 12:08

      @Vigneron des Ardennes
      Ben si, la prune ça se distille. Les nèfles non.

      Donner des prunes c’est mieux que de recevoir des nèfles.

      Dicton vigneron.


    • 2 votes
      michel-charles 1er juin 2016 17:30
      La pénurie des sens expliqués à Manuel Valls..qui n’à aucun bon sens..ça n’a pas de sens.. ?

      • 2 votes
        sls0 sls0 1er juin 2016 21:23

        Vivant en grande partie comme ce qu’il propose, il m’est plus facile de dire ni dieu ni maitre.
        J’ai eu un prêt de 7 ans dans ma vie, c’était pour une maison. Une perte temporaire de liberté, c’était pour une maison quand même.
        J’ai toujours payé cash, ça décale dans le temps entre l’envie et l’avoir c’est tout. Ce décalage temporel s’il permet des économies permet aussi de se désensibiliser au compulsif, à l’envie de paraitre.
        Franchement une grève on est serein, la plupart du temps la poire pour la soif est là et on à pas quelque chose au dessus de la tête.

        Avant pour avoir un esclave il fallait le chasser, le transporter, le dresser, le surveiller car il était pas toujours docile.
        Maintenant un simple prêt enlève tout ces problèmes logistiques et il est docile l’esclave, il y tient à sa télé grand écran.

        Ce matin j’ai refusé un salaire qui devait se situer dans les 3-5000$. J’ai refusé le salaire mais pas le boulot qui est intéressant. Si ça c’est pas être libre, j’ai une retraite quand même, ça aide.

        La force de travail :
        1)Peut se soumettre à un travail salarié, quel que soit leur niveau de vie et le niveau du salaire. Cette spécialisation empêche l’autarcie. C’est le paysan qui perd son savoir généraliste qui se transforme en prolétaire plus spécialisé.
        2) Peut se consacrer à l’autarcie et peut s’il veut acquérir des connaissances spécialisées, se perfectionner.

        En cas de crise, le non prolétaire est mieux armé car non dépendant, quand c’est pas la crise prolétaire c’est plus confortable. Marx opposait prolétaire et bourgeois, l’employé et l’employeur. Quand je vois certains salaires comparés aux revenus de certains artisans avec des salariés, à la définition de Marx je préfère l’opposition 1% les plus riches et les autres dont je fais partie.

        Un excès de ressources à permis le fordisme qui a rendu la vie de salarié plus vivable et à marginalisé un peu l’autarcie. Les ressources diminuent, l’autarcie peut revenir à la mode.


        • 2 votes
          izarn 2 juin 2016 12:21

          @sls0
          A ce qu’il parait le fordisme c’est de la foutaise.

          La seule chose à y retenir, ce sont les cadences infernales, la division du travail délirante, la sous qualification qui en résulta, et le prolétaire jetable. Puisqu’ils ne possede plus aucun savoir utile à l’entreprise. C’est devenu une bete de somme.

          Il suffit de revoir le film de Chaplin "Les temps modernes" au lieu de raconter des conneries.https://www.youtube.com/watch?v=h4rdulAGbbQ

          La division du travail, c’est ça l’esclavage.

          Par dessus le marché, ca permet, quand les choses deviennent trop compliquées, de ne faire du très mauvais travail, voir le résultat avec le JF35....

          Plus on divise, plus on devient con.


        • 1 vote
          sls0 sls0 3 juin 2016 04:08

          @izarn

          Une autre vision.

          Pour avoir plus de dividendes, il fallait un plus grand nombre d’acheteurs. Ce n’est pas par bonté d’âme que Ford a fait en sorte que ses ouvriers puissent acheter leur production.

          Fordisme plus marketing c’est assez notre style de vie, non ?



        • 4 votes
          Croa Croa 2 juin 2016 01:13

          Non les gens n’ont pas « peur de perdre leur travail » ! Ils sont en état de dépendance ce qui est différent !
          Cet état de dépendance n’est pas seulement financier, il est surtout psychologique.
          Autrefois et ce jusqu’au milieu du siècle dernier cette dépendance existait aussi mais elle était seulement matérielle. Contrairement à ce que dit le présentateur les prolétaires, habitants en ville ou en citée ouvrières, dépendaient de leur salaires pour manger. (La majorité des français vivant à la campagnes n’avaient pas ce problème mais les grandes grèves ce n’est pas eux qui en faisaient.) La véritable différence avec les salariés d’aujourd’hui c’est qu’ils avaient conscience de leur condition.
          Aujourd’hui les salariés se croient libres parce qu’on leur a dit qu’ils l’étaient. Ils sont ’’libres’’ d’accepter les objectifs du patron mais doivent tout de même arriver à l’heure au bureau et si l’essence venaient à les empêcher de se rendre à leur travail cette avanie sera ressentie comme une atteinte à leur liberté justement parce qu’ils ne sont pas libres (se rendre au travail est ressenti comme un impératif) sauf qu’ils n’ont pas conscience de cela.
          *
          Bref, si (en majorité) les gens ne font pas grève, voire ne se syndiquent même pas, c’est juste parce qu’ils croient mener leur vie librement et donc que ce n’est pas la peine. 


          • 3 votes
            izarn 2 juin 2016 12:40

            @Croa
            S’ils croient vivre libres, ils sont vraiment cons....

            Ou il ne savent pas ce que c’est.

            J’en profite pour parler de la stupidité de la formulation de la droite qui veut combattre "l’assistanat"

            Déformation complete du mot. De fait la société capitaliste pretends etre indispensable à la vie du prolétaire. Elle assiste donc le prolo en s’occupant de tout. Sa défense, son salaire, construire sa maison, fabriquer les objets dont il besoin, faire du spectacle. Tout cela bien sur payant.

            La capitalisme assiste le prolo, comme l’éleveur assiste un troupeau de vache. Qui libéré dans la nature, finirait par mourir...

            Le prolo est devenu dépendant, décérébré, sans plus aucune competence de survie. Ce gamin a tout a fait raison.

            Le prolo est devenu un assisté. Meme et surtout avec un bon salaire. Je connais plein de gens friqués, qui ne savent meme pas changer une roue de voiture, ni changer un ampoule, planter un clou. Ces gonzes ne savent rien faire d’autre que de travailler du chapeau et dépenser leur fric pour etre assistés dans leur vie d’handicapés.

            Donc l’assistanat augmente quand on s’èleve vers les hautes couches sociales.

            Plus t’as du fric, plus t’es un assisté, tu devient un assisté. Tu ne fait plus rien toi meme, tu ordonnes. Et tu éructes cette énormité scandaleuse :

            Vous les pauvres, vous etes des assistés.

            Bande de sales cons...


          • vote
            Castel 8 juin 2016 10:28

            @Croa
            C’est quoi la liberté au juste ? Je ne pense pas qu’on puisse construire un discours cohérent sans se poser cette simple question. Qu’on ait le pouvoir ou non ne signifie pas liberté (au contraire parfois), qu’on soit dépendant d’un boulot pour toucher un salaire ne signifie pas une totale absence de liberté (par ailleurs, le capitaliste est-il vraiment libre alors qu’il dépend lui-même d’un système ?)... Il n’y aura jamais de justice sociale tant qu’on ne travaillera pas sur la problématique holistique de la liberté humaine.



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