La vidéo ultime contre la gauche 3ème partie (Le showbizz)
Après le premier volet de cette vidéo ultime contre la gauche sur les médias, et le second, sur les politiques, voici le troisième volet sur le showbizz, infesté lui-aussi par la gauche. De François Bégaudeau qui se targue d'avoir été stalinien (et applaudi pour ça), à Vaquette qui explique la responsabilité de Caroline Fourest dans la censure actuelle, à BHL qui fait l'apologie de son maître le communiste enragé Althusser (qui a étranglé sa femme), en passant par Besancenot, Mélenchon et Onfray qui font l'apologie du communisme, ou Miller et Sollers qui font l'apologie du maoïsme, on fait un petit tour de l'horreur acceptable selon la société actuelle, puisqu'elle se dit de gauche.
Tags : Politique Société Médias Eric Zemmour
44 réactions à cet article
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Jean, pouvons-nous cette fois-ci comprendre le terme "ultime" comme synonyme de "dernière" ? Si oui, soyez assurés du concert de louanges dans les commentaires à venir...
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Robin en arrive même à saouler les gens à sensibilité de droite avec ces articles inutiles.
Robin et à la drouate ce que BHL est à la goooche, même combat. Soyez surs que quand ils soutiennent une thèse ou un avis quelconque, c’est l’avis contraire qu’il faut adopter.
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Taper sur la gauche en ce moment, c’ est facile, comme disait Marx, c’ est mettre une claque à sa grand mère...
Je n’ ai rien contre les rêveries de gens, chacun son côté ’crazy’, le problème est qu’ il faut faire le bilan après expérience, et là, les gauchistes n’ avancent pas... Ils refusent. 100 000 000 de morts et Mélenchon qui refait du buzz il y a deux-trois ans. C’ est croire que les gens ne comprennent jamais rien. Bon, là, ce n’ était que du buzz à médias, mais il y a encore 10-12 % qui votent extrême gauche en France aujourd’ hui... On est les derniers en Europe, avec ce nombre là.Le pire est quand ils sont fonctionnaires, cela tombe à la fin du mois, donc pas de retours d’ expérience de la vie concrête, du monde du travail ou l’ on peut se faire virer à la fin du mois, ou l’ entreprise peut fermer. On continue à débloquer comme ça toute la vie.-
Oui bien sûr, même 999 999 999 999 999 999 de morts à cause du communisme. "Le monde du travail" t’oublies l’adjectif "capitaliste". Ce machin artificiel et aliénant peut toujours être remis en cause, quoi qu’en pensent les dominants.
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Bah oui, si travailler ça tue, vivre aussi ça tue, pendant que tu y es. On est toujours dans le déni des exactions de Mao, etc...
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Il y a 6 millions de chômeurs et lui il est aliéné par son travail, pauvre choute ! Et qu’ est-ce que tu fais ? Tu casses des cailloux à la chaine au fond de la mine entre les anacondas et les alligators ? Il n’ y a quasiment plus d’ ouvriers !
Or, ne pas avoir de travail est beaucoup plus dur à supporter, les dépressifs sont là... -
Les employés de bureau ne sont rien d’autre que des ouvriers.
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Ah oui ? Alors l’ aliénation des ouvriers qui font leurs heures d’ employé de bureau, est vraiment un scandale ?
Aliéné à 35 heures avec 5 semaines de congés, alors qu’ ailleurs dans le monde on travaille beaucoup plus et on se plaint moins ? "Aliéné" ? CRETIN ! -
Gerfaut, vous avez vraiment une grande gueule vide...
"Alénié" dans le sens d’abruti par des tâches parcellisées et répétitives. Je suis employé de bureau (en gros) dans le privé (je précise, pour que vous ne me crachiez pas au museau). Je peux vous dire que les gestes qui me sont demandés de faire au quotidien sont totalement "crétins" (pour reprendre votre terminologie poétique). Un enfant de 10 ans pourrait en faire autant mais le poste requiert un BAC+3 (qui peut le plus peut le moins).
Je me sens "presque" l’égal d’un ouvrier dans l’abêtissement professionnel. "Presque", parce que, n’exagérons rien, j’ai le confort en plus : les bureaux sont chauffés, je suis toujours assis et un ordinateur fait beaucoup moins de bruit qu’une fraiseuse.Voilà pour votre gouverne.
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Gerfaut,
La prochaine fois que vous passerez à la caisse de votre supermarché, observez bien votre caissière, celle-là, ou celle d’à côté, peu importe... à de rares exceptions elles font toutes la gueule. Pourquoi d’après vous ? Avez-vous fait ce job ne serait-ce qu’un seul jour ? C’est un "métier" chiant, inutile, usant, dans lequel on apprend rien, sans aucune perspective, avec le stress qui monte dés qu’il y a un peu de monde dans la queue et q’un produit ne passe pas, avec des objectifs de rentabilité à la seconde près, un des boulots où il y a le plus de maladies du travail et tout ça pour être payé à coups de lance-pierre et accessoirement être parfois méprisé par des "crétins" de votre espèce.Les gens qui font les ménages ne sont guère mieux lotis avec leurs horaires délirants ... et toujours des salaires de misère.Le taxi qui fait 15 heures par jour et arrive à peine à payer ses charges.Les ouvriers dans le bâtiment qui n’ont plus de dos à 50 ansLes gens qui travaillent dans les hot-lineCeux qui gèrent vos bagages quand vous prenez l’avionCeux qui ont produit la voiture (vous avez déjà visité une usine, une en fonctionnement actuellement ? j’en doute ...) avec laquelle vous roulez peut-êtreLe type qui conduit pendant des heures le bus que vous prenez et qui se fait insulter ou agresser...Oubliez votre image du monde ouvrier avec la fumée noire, la sueur, la crasse et les gueules noircies par le charbon (même si ça existe encore partout sur la planète). Les ouvriers, il y en a partout autour de vous. Ils ont des boulots de merde, mal payés, et y développent toutes sortes de maladies ... le tout pour arriver à peine à survivre. Vous avez juste de la merde dans les yeux, et si le mépris valait quelque chose vous seriez riche ... mais toujours aussi con.P.S. : vos commentaires sur le "travail" de Robin sont en parfaite adéquation avec vos propos ici ... tout se tient -
Arrêtez de chialer et comportez-vous comme des Hommes dignes. Le travail permet aussi aux gens d’ être équilibrés. Je sais très bien que cela fait bien de se dire "aliéné" parce qu’ on fait des trucs répétitifs, mais dans ce cas changez de boulots, mettez-vous des coups de pieds au cul. Mais il est plus facile de se faire passer pour une victime.
Se comparer à des gens aliénés comme ceux qui travaillaient à la chaine est indécent. Quand aux caissières, ce n’ est pas un boulot marrant, mais avant le code barre elles devaient taper tous les prix à la main et devaient connaitre les prix par coeur (avant les supermarchés). Et ne vous inquiétez pas, bientôt, il y aura des robots à leur place et elles regretteront le boulot qu’ elles avaient. -
Non c’est pas le travail de manière général qui aliène (j’ai pas pu revenir pour répondre de suite), mais le travail capitaliste qui a pour but le profit d’un petit nombre de gens, et ça j’appelle ça de l’exploitation, petit nom de l’esclavage consenti. T’es allé écouter Friot ? Juste pour envisager qu’il peut exister une façon différente de faire, où le travail est au service de tous, et pas du capital. Et ça n’a rien à voir avec les millions de morts que les nazis ou autre ont fait. J’ai plein d’objections à faire à Friot mais il a raison sur la bêtise incroyable de notre système, où la plupart des gens font un boulot de merde en rêvant de ne plus travailler (en gagnant au Loto ou autre), alors qu’on pourrait plutôt faire un boulot utile, pas forcément plus agréable mais au moins en sentant l’utilité on s’en sentirait responsable. Bref je ne suis pas savant sur ces questions mais ça manque sérieusement de communistes sur ce site, et de manière générale ils sont peu visibles pour répondre notamment aux accusations imbéciles du nombre de morts (c’est comme dit Delamarche concernant les chiffres du chômage, c’est un commentaire mais pas une analyse, et en analysant on doit bien trouver le moyen de mettre fin à la prédation capitaliste sans pour autant tomber dans l’aliénation inverse et dangereuse qui a peut-être déjà eu lieu).
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"changez de boulots"
Merci du conseil.
Mais, p’tite question : à Pôle Emploi, le guichet "changer de boulot", c’est à gauche ou à droite du guichet "trouver du boulot" ?J’demande parce que si ça se fait y en a même pas, et j’voudrais pas me retrouver le 6 millionième dans la file...
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L’aliénation est transmettre sa propriété à autrui, donc s’il y une aliénation dans le travail, elle ne vient pas par la répétition des tâches, qui résulte de la division du travail en tâches "atomiques", mais par la cession des fruits de son travail à autrui.
Le travail est de toute façon quelque chose qui donne quelque peine, il est laborieux... Mais c’est logique : pour se nourrir, il faut se dépenser. Même le chasseur et le cueilleur sont obligés de faire des efforts pour se nourrir.
Puisque notre corps a des nécessités pour subsister, il faut bien des obligations qui en soit le reflet au niveau social : c’est le travail. Ce travail permet de produire les Biens dont nous avons besoin.
L’ardeur au travail est donc une vertu. Là-dessus, Gerfaut a raison de tancer les pleureuses : elles ne se plaignent que de leur incapacité à s’évertuer au travail.
Maintenant, si quelqu’un ne veut pas que son travail soit aliéné, qu’il ne se fasse pas salarié... S’il se fait salarié, il l’a choisi, il doit l’assumer.
Cela dit, la monopolisation des productions par des armées économiques privées qui accumulent du capital est très obligeante : l’individu seul est bien mal armé pour faire face à ces mastodontes économiques.
Donc il n’est pas question pour moi de nier les déséquilibres économiques actuels. -
Et puis, le choix, Gerfaut...
On en a, quelques uns. On a des choix. On a pas les choix.
Certains en ont moins que d’autres.
La première inégalité de fait réside là.
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J’ai un boulot qui me plait, créatif, autonome, une famille et une vie dans la norme, et je n’ai pas l’impression d’avoir contrôlé grand chose dans l’enchaînement de ce qui m’y a amené. Je suis reconnaissant envers les gens, les circonstances, les hasards, les structures sociales et le moi-même qui auront contribué à m’y amener. Mais je dois à mon amour propre de ne pas me rêver comme le grand responsable de ce que je suis et de où je vais, empire dans l’empire.
Du coup je ne vois pas comment soutenir face à l’"autre" que sa condition ne relève que de ses choix, ce serait hypocrite.
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Mais je comprend parfaitement qu’on ait besoin de s’imaginer empire dans l’empire, responsable majoritaire de sa propre situation, en situation de contrôle. Je pense que ça contribue à plus de fierté, moins de mal-être... Il faut bien vivre.Penser cela n’est pas penser que tous est déterminé, c’est penser qu’il y a détermination. Dans quelle proportion ? à chacun de se le demander. Car certains ont moins de choix que d’autres.
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"Maintenant, si quelqu’un ne veut pas que son travail soit aliéné, qu’il ne se fasse pas salarié... S’il se fait salarié, il l’a choisi, il doit l’assumer."
Rigolo, même sur ça t’arrives à culpabiliser les gens. Et on peut être quoi d’autre ? Faire un emprunt de 30 ans pour devenir son propre patron en achetant son outil de production et développant une activité incertaine car aucun salaire n’est assuré, et en se crevant à la tâche comme on voit des fois ceux qui n’ont plus de vie ? D’autant qu’on n’est pas formé à ça. Bref tu peux retourner dans tous les sens, que ce soit pour un patron ou (directement) pour une banque, sauf rares phénomènes, on reste au travail forcé et non choisi. C’est complètement taré. Non je ne crois pas que c’est dans un commentaire de 5 lignes qu’on va trouver une solution, il y a un monde à construire. -
Merci Robin pour ces vidéos, c’ est tellement rare de voir ça dans un média, même si ce ne sera jamais à la télévision, encore moins à la télévision publique.
Ils ne sont pas habitués les gauchistes à se prendre des vidéos qui ne vont pas dans leur sens. Avec 80 % des journalistes à gauche, cela les réveille un peu, nous c’ est tout le temps qu’ on doit subir leurs idées.-
on peut prendre en compte les morts de mao et de staline, mais c’est mieux en prenant aussi en compte le bilan de milton friedman, des bush et du fmi.
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Gerfaut
"80 % des journalistes à gauche"
80 % des journalistes en France travaillent pour Lagardère, Bouygue, Dassaut, Bolloré and co. De vrais collectivistes sauce mao.
Ta conception de "la gauche" n’est pas au point.Ca ne s’améliorera pas avec les cours de Jean Robin.
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C’ est une blague là ? La mauvaise foi du gauchiste, c’ est quelque chose...
Tu ne lis jamais Libé ? Le Monde ? C’ est pourtant qui le patron ? On donne des milliards chaque année pour maintenir par exemple la presse écrite en vie. C’ est l’ état qui rince...Combien il y a de journalistes à France 2, France 3 ? Radio France ? AFP ? Je crois qu’ à France Tv ils sont 10000 sur les 37000 encartés en France, (mais ce n’ est pas très facile à trouver tellement les effectifs y sont pléthoriques et qu’ on planque ce chiffre). -
Libé ? Le Monde ? De gauche ?
:D
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"On donne des milliards chaque année pour maintenir par exemple la presse écrite en vie."
Ben oui, c’est ça le néolibéralisme : l’état dévoyé pour subventionner une presse qui ne fait que vendre les arguments de sa destruction systématique.
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"Je crois qu’ à France Tv ils sont 10000 sur les 37000 encartés en France,"
J’imagine que tu parles d’encartés PS. Bon. Une fois pour toute : le PS n’est pas de gauche. Son programme n’est pas de gauche, il est social démocrate, et donc plutôt centre-droit. Tu comprends, Gerfaut ? -
magnifique ta campagne pour vanneste , toute sa pensée se trouve résumée dans ce petit clip .la goche ne se relèvera pas de ce brûlot
jean robin au 20h de f2 vite !-
A quoi sert ce film ?
Même les gauchistes savent que la gauche, c’est de la merde. Ils ont même été les premiers à le comprendre, vers 1983. Bien avant les gens (ou le peuple), qui, eux, ne l’ont compris que trente ans après. Il a fallu deux septennats mitterrandiens et l’élection de Hollande pour qu’ils ouvrent les yeux devant la mascarade.Je note que Robin classe Soral à gauche. Il a à la fois tort et raison. Soral pioche un peu partout ce qu’il considère comme juste. Et c’est évidemment ce que l’on doit faire. Sortir des clichés (l’idéologie n’est qu’une suite d’idées reçues) et repenser le monde, humblement.-
Merci aux compliments, désolé pour les autres d’exister ;)
A la question qu’est-ce que la droite, je répondrais le pragmatisme.
A la question qu’est-ce que la gauche, je répondrais l’idéologie.
Et vous ?-
Qu’est ce que la droite, et la gauche ?
Je répondrais des concepts dépassés depuis bien longtemps dans notre système politique, ou plutôt dans l’analyse de notre système politique. Faut lâcher prise maintenant JR, y’a plus d’os, plus de moelle, plus rien, vous rongez vos dents je pense...
La gooche et drouate c’est pour TF1 est les bovins qui pensent encore en binaire.
Mais bon... si ca peux vous rapporter un peu de thunes de perdre du temps dans ces vidéos... (j’ai bien essayé de regarder la première, mais les musiques "d’ambiance" de vos montages m’ont découragé) -
Le débat gauche-droite est un marronnier, une course à l’échalote.
L’échiquier politique, c’est la carmagnole, chacun a quelqu’un à sa gauche et quelqu’un à sa droite. -
ferme là Robin !
t’es vraiment un "pot de colle glu" toi c’est pas vrai !tu vois pas que tout le monde te "pisse dessus " ici ?t’es un "maso" mon gros ou quoi ?tu es une "insupportable tête à claques"...Ferme là ... DÉFINITIVEMENT !retourne faire le "malin" sur ton site à deux balles ... c’est mieux . -
Ya combien de parties à cette bouse ?
Robin ferme la (partie 3).-
@Eric
Vous vous plaignez comme un bébé mais qu’est-ce qui vous empêche de créer votre boîte (ou même d’être auto-entrepreneur) ? A part le courage bien sûr...Quant au débat gauche - droite, ceux qui le nient ne font que nier la réalité du peuple, qui se reconnaît encore de façon ultra-majoritaire de gauche ou de droite. Et je ne parle pas là des élections, mais des discussions avec les gens. Essayez, vous verrez.
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Y a des gens qui vivent en dehors de Paris vous savez. Moi j’en connais plein qui s’en foutent d’être de droite/gauche, nazi/juif, sioniste/antisioniste mais qui se considèrent faisant partie intégrante de l’humanité avant de se coller une étiquette limitante volontairement comme se plaisent à faire les médias, ceux qui les suivent et autres crétins politiques...
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@ Jean :
Je ne me plains pas, je n’ai pas à le faire. J’ai un boulot et je touche un salaire qui me permet d’aider ma femme à payer nos traites. D’autres n’ont pas cette chance.
Auto-entrepreneur, c’est fait. Quelques mois seulement. Une belle arnaque comme procédé.Quant au courage... je mets ça sur le compte de la provocation.
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Encore un détail : il y a différentes manières d’être courageux. Malgré notre monde résolument capitaliste, monter sa boîte et se prostituer sur le net pour la maintenir hors de l’eau n’est pas la seule manifestation du courage. Sortez un peu le nez de votre portefeuille.
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Se prostituer sur le net ? Parce que tu proposes de vendre quelque chose ?
’Le nez dans le portefeuille’ ?Alors tu préfères jouer à celui qui est ’aliéné’, c’ est sans doute mieux...Redescends sur terre et arrêtes les grand mots. Chacun fait ses choix. Après ne pas chialer. -
Vendre quelque chose ? Surtout pas, malheureux ! Je propose au contraire d’essayer de nous déprendre du réflexe marchand omniprésent. Tout ne se résume pas à cela.
Il ne s’agit pas de "chialer", mais de déplorer un système qui fonctionne au CV, et uniquement au CV. Est-ce encore permis ? Les employeurs ne jouent pas le jeu - certes parce qu’ils ont peu de marge de manœuvre en France - et s’en tiennent à la logique du diplôme à l’intitulé correspondant mot pour mot au poste qu’ils souhaitent voir pourvu. Sans compter le copinage en réseau et la cooptation : les règles sont biaisées.
Quant à Robin, en bon marchand de tapis, il est systématiquement dans la quantité, pas dans la qualité, et comme la qualité ne paie pas forcément et qu’il a douze boîtes à faire tourner (il en crée une par mois car c’est un homme trèèèès courageux), il n’a pas le choix. D’où ses sempiternelles vidéos de merde (dixit en gros 97% des Internautes, ce tas de cocos jaloux de son talent). Robin, son truc, c’est le commerce, il le claironne partout, et c’est tant mieux pour lui (il en faut, je ne le nie pas). Mais on ne mélange pas les torchons et les serviettes : on ne vend pas de l’intelligence comme on vend des chaussettes. Or Robin emploie les mêmes ficelles. Vous qui parlez le même langage, Gerfaut, pourriez-vous le lui faire comprendre dans votre sabir commun ? Merci, vous êtes chou. -
Tenez, je suis en train de regarder Complément d’enquête : on y voit un jeune type qui est pilote de ligne, et comme il n’y a pas de boulot, il vend des tickets d’entrée et du pop-corn dans un cinéma. Vous allez lui dire quoi ? "Arrête de chialer et monte ta boîte, on n’a que ce qu’on mérite" ? Pffffffffff...
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Ben moi, je suis de formation ingénieur, je cueille des melons, mais je ne me plains pas : je suis même heureux de le faire, ça me défoule !
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@ Jean Robin :
"Quant au débat gauche - droite, ceux qui le nient ne font que nier la réalité du peuple, qui se reconnaît encore de façon ultra-majoritaire de gauche ou de droite. Et je ne parle pas là des élections, mais des discussions avec les gens. Essayez, vous verrez."
=> Il va falloir du temps aux gens pour désapprendre ce qu’on leur a inculqué pendant si longtemps. Fut un temps où la "réalité du peuple" consistait à s’en tenir à la platitude de la terre. C’est toujours commode le conformisme, et en politique, ça permet de canaliser les masses sur des chemins balisés. Il y a des gens plus ou moins sensibles à certaines choses (l’ordre, l’égalité, le collectif, la liberté, la justice, la tradition,...) et ces gens se tournent vers des boîtes à vocation marchande qui ont pour nom "partis" et qui leur promettent de répondre à leur demande par un certain type d’offre incarné par un certain type d’individu. Point barre à mes yeux. Cette politique-là pue le commerce à plein nez. Heureusement qu’elle peut compter sur de petits margoulins dans votre genre (à coups de "livres noirs"...) pour se maintenir dans les esprits. -
ça m aurat étonné qu il oublie son MAITRE SORAL
pour une fois robin le detrousseur de vieuxqui tend la main pour des €€€€ sur son site
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