Quentin LEPLAT / Le secret du Coricancha à Cusco au Pérou
Quentin LEPLAT :" Lors d’un séjour au Pérou, je pris le temps de mesurer avec un télémètre les deux salles du célèbre temple Pré-inca du Coricancha à Cusco. Les dimensions de ce monument révèlent une géométrie subtile et la connaissance du nombre d’or, exprimée à travers cette géométrie ainsi qu’à travers les nombres. De surcroît, ce temple révèle l’emploi d’unités de mesure anachroniques, puisque le mètre et le yard mégalithique sont les deux principales unités de mesure ayant servi à l’organisation géométrique du Coricancha. Leur utilisation est d’une telle évidence que ce constat bouscule radicalement nos croyances quant à l’origine des civilisations d’Amérique du Sud. Outre ces deux mesures, on constate que la coudée royale égyptienne et la coudée nilométrique font aussi partie des unités de mesure employées.
Toute la construction révèle de manière simple et limpide l’emploi d’unités de mesure à priori sans aucun rapport entre elles, et très éloignées dans l’espace et le temps. Les dimensions des salles du Coricancha sont une révolution pour notre vision classique de l’Histoire des premières grandes civilisations, car elles démontrent que des relations scientifiques ont existé entre l’ancien et le nouveau monde il y a plusieurs millénaires, par un peuple inconnu".
La conférence "Pérou/Bolivie nouveau regard" disponible sur vimeo :
LISTES DES PUBLICATIONS DE REFERENCES :
http://messagedelanuitdestemps.org/wp-content/uploads/2018/09/Le-Coricancha.pdf
Tags : Amérique du Sud
69 réactions à cet article
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La Science antique
Quels étaient donc ces premiers instructeurs de l’humanité qui expliquèrent à l’homme la Nature et ses mystères, la vie et ses lois ? La tradition de tous les pays fait remonter cette première science à une « race divine ». Puis, quand vint la religion moderne qui résuma tous les Dieux en un seul, on déclara que « la Révélation vient de Dieu ». Mais ceux qui parlaient ainsi s’appuyaient sur une tradition altérée ; si nous remontons à sa source, nous ne trouvons pas un Dieu, mais des Dieux, et si nous cherchons quel était le secret de leur nature divine, nous devons remonter plus haut encore, et dans ce passé lointain, nous ne trouvons plus des Dieux, mais des Déesses, et forcément nous constatons que c’est cette primitive Divinité, la Déesse, la puissance supérieure (intellectuelle), qui a instruit les hommes. Nous comprenons alors que la source de toute vérité, c’est l’Esprit féminin.
Déesse est le nom générique de toutes les femmes supérieures et qui n’indiquait alors que les qualités morales inhérentes au sexe féminin. Pas de surnaturel ; partout les mêmes principes, c’est-à-dire les mêmes commencements, avaient pour base la nature même, encore inviolée.
Longtemps la science primitive régna sur le monde, elle fut la base des grandes civilisations de l’antiquité.
Prenons la Cosmogonie. Le terme « Cosmogonie » indique qu’il s’agit de la première Science faite par la Femme, puisque gonie (ou gunia) signifie Femme. C’est le Cosmos expliqué par la Déesse.
Nul doute que la Cosmogonie fut entièrement faite pendant le régime gynécocratique, elle avait un caractère féminin indéniable et les noms des déesses qui firent cette Science, tels Uranie, Istar ou Astarté, etc., sont restés des dénominations astronomiques.
Du reste, toute la tradition antique nous montre les Muses expliquant les lois de l’Univers. C’est la première révélation faite aux hommes.
On sait aujourd’hui qu’une Science grandiose a régné dans les temps primitifs, puis a été persécutée et détruite dans les époques suivantes. Ce seul fait prouve qu’elle fut faite par des Femmes. Pourquoi les hommes l’auraient-ils supprimée, si elle avait été faite par eux ? Et pourquoi, par la suite, l’ont-ils remplacée par tant d’erreurs, au lieu de la refaire dans sa splendeur première ?
L’étymologie va nous rappeler les liens qui existaient déjà, dans l’antiquité, entre les continents, grâce à cette science :
On désigne par le mot Mères les Prêtresses de la Déesse Hemœra (devenue Homère). Ce nom a été trouvé dans de nombreuses inscriptions au bord de la Méditerranée.
Oscar Vignon, dans le Rhin français (31 mars 1917), dit :
« Le mot gaulois ma-yr (mair) a donné non seulement le mot latin mater, mais aussi cet autre, ma-yr-a, dont témoignent les vieilles inscriptions : Mairæ.
« Comment se fait-il que les dictionnaires latins les plus récents passent ce Maïra sous silence ? »
Et Oscar Vignon ajoute : « Vous avez donc bien peur de voir éclater la Vérité Celtique, la Vérité Gauloise, que vous dissimulez avec tant de soin tout ce qui peut servir à la faire resplendir ! »Rappelons enfin que le comte Maurice de Périgny, archéologue français, a découvert au Guatemala, dans le district de Peten, les vestiges d’une immense cité de l’époque des Mayas, c’est-à-dire des Mairs.-
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@Qirotatif
Pour resituer plus justement :
L’article d’Irna présentant de nombreux biais méthodiques ainsi que de nombreuses erreurs importantes, Quentin Leplat a corrigé pédagogiquement cet article ----> https://www.youtube.com/watch?v=yFETPhRuNXg&feature=youtu.be
Comme il avait déjà fait avec la tentative de critique malheureuse de gollum illuminati et hygiène mentale -----> https://www.youtube.com/watch?v=SXNNVbDTIrM
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@Ozi
C’est triste parce que c’est l’un des moins pires dans le lot. Je ne perds plus mon temps à écouter ces gens. Libre à chacun de le faire...
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@Qirotatif
Puisque tu ne connais pas le sujet, que les rares "critiques" que tu as pu émettre se sont révélées toutes infructueuses, que tu n’es pas connu pour ton intégrité intellectuelle et que tu ne regardes même pas les vidéos, alors il ne te reste plus qu’à éviter d’être ridicule en arrêtant tout simplement de poster n’importe quoi..
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@Heron
Censeur avec ça ?Venant d’un bon client de pyramidiologies cela me flatterait presque
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@Qirotatif
Menteur avec ça ? Où as-tu vu une quelconque censure ? A moins que tu considères un simple conseil avisé comme une injonction... C’est pour toi que je fais ça...
Mais venant d’un troll multi-comptes, cela me ---->
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Quirotatif a été plus rapide que moi.
Quentin Leplat à repris le flambeau de l’autre charlatan de Grimaut.Je ne regarde plus ses vidéos, les premières ce n’était que du biais cognitif, des erreurs de mesure.Tant qu’il y a des pigeons pour payer ses voyages ça ne me dérange pas, il en faut pour tout le monde et un des rôles du pigeons c’est de se faire plumer.Même si on s’aperçoit que l’on s’est fait plumer, il est parfois difficile de revenir en arrière. Soit on appuie le message ou soit on passe pour un con.-
@sls0
Grumautl continue, à petite échelle cela fonctionne encore... Dans une de ses "conférences" récentes, il ressort même les photos débunkées mille fois de géants et ce genre de conneries... La malhonnêteté de ce type me sidère autant que la crédulité des gogos qui payent pour écouter ses "cours", cela étant dans une escroquerie je ne méprise que l’escroc et j’estime qu’une fois que celui-ci est confondu, on peut y aller sans vergogne... -
J’ai du mal à percevoir l’enjeu exact qui mérite une polémique. Ces antiques constructions sont manifestement d’admirables oeuvres d’architecture et de maçonnerie. Mais en quoi le fait d’affirmer, ou de nier, que les ingénieurs de l’époque connaissaient la section dorée est-il important aux yeux des uns et des autres ? Je n’arrive pas à comprendre pourquoi tant d’énergie est dépensée à ce sujet. Euclide donne la définition de cette proportion au IIIe siècle avant J.C. : « Une droite est dite être coupée en Extrême et Moyenne raison quand, comme elle est toute entière relativement au plus grand segment, ainsi est le plus grand relativement au plus petit. » Peut-être la formule géométrique était-elle connue bien avant lui, y compris sous une forme algébrique. Et alors quoi ?
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Là, par exemple, on voit que l’appareillage des pierres est d’une rare beauté associée à une excellence technique.
Qu’est-ce que le nombre d’or ajoute de plus à ça ? Actuellement, il existe plus de personnes connaissant le nombre d’or que de personnes capables de monter un mur comme ça.
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@Zatara
Si je ne m’abuse, la cité Machu Picchu, par exemple, est datée du xve siècle. A cette époque en Europe, le nombre d’or était utilisé et théorisé depuis fort longtemps. Il serait donc presque étonnant que les Péruviens ne l’aient point découvert eux-mêmes. Et qu’ils l’aient connu et utilisé ou pas, à la même époque que certains Européens, en quoi serait-ce important ? (Quant aux distances censées établir des correspondances entre différents points de la Terre, c’est une autre affaire.) -
@Zatara
Oui, d’après cette vidéo, les parties plus anciennes seraient plus parfaites que les compléments du XVe siècle. -
@Zatara
Oui, il est clair que c’est l’enjeu (associé à une forme d’ethnocentrisme européen), mais je ne trouve pas que la section dorée ajoute beaucoup à ce qu’on peut déjà constater au niveau de la capacité concrète de construction (qui est la véritable chose surprenante et indéniable). Comme la proportion dorée se constate dans la nature, on pourra peut-être un jour observer que certains animaux construisent leurs nids en rapport avec ce principe (guêpes, fourmis, oiseaux, singes, etc.) et cela ne changera pas pour nous le statut civilisationnel de ces animaux. On dira simplement que c’est l’équilibre de la nature qui s’exprime de cette manière. Le nombre d’or exprime peut être tout le contraire de l’avancée civilisationnelle. Peut-être est-ce la capacité de construire quelque chose en s’affranchissant du nombre d’or qui indique l’avancée de la civilisation humaine. -
@Belenos :"Mais en quoi le fait d’affirmer, ou de nier, que les ingénieurs de l’époque connaissaient la section dorée est-il important aux yeux des uns et des autres ?"
Et bien, outre le fait que que du point de vu de l’archéologie les Incas ne sont pas censés connaître la section dorée et les constantes pi, fi, inverse du nombre d’or, ect, le problème c’est que ces connaissances sont exprimées à travers des étalons de mesures comme le mètre ou le yard mégalithique, comme dans la grande pyramide de gizeh par exemple (c’est une des polémique initiée par lrdp), mais surtout comme les peuples qui érigèrent les menhirs et dolmens en Europe..
Par exemple lorsque Quentin Leplat prend la mesure du couloir de Coricancha avec son télémètre, il obtient 1.618 mètre, c’est à dire le nombre d’or exprimé en mètre.
Et là cela pose de nombreux problèmes :
1/ Parce que l’unité métrique est censée avoir été proposée comme le 1/4 du méridien terrestre par Talleyrand à la fin du 18ème siècle, et qu’il a fallu pour cela mesurer avec une grande précision la circonférence de la Terre. Autrement dit, les bâtisseurs de tous ces sites "problématiques" avaient, de part les étalons de mesures utilisés, une connaissance précise des dimensions de la Terre.
2/ Parce que l’on retrouve déjà des similarités de conception et de rélisation sur tous les sites énigmatiques à la surface du globe. Jusque là, la théorie des castors (qui bâtissent de la même manière) était la dernière ligne de défense des Archéologues pour justifier cette encombrante particularité, sauf que les travaux de Leplat ou Crowhusrt, montrent que les bâtisseurs utilisés les mêmes étalons de mesures, et là s’en est tout simplement fini de la théorie des castors ! C’est soit la même connaissance, soit la même civilisation qui à bâti ces sites énigmatiques.
Commences-tu à percevoir le potentiel explosif de ces nouvelles connaissances ?
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Je me suis mal exprimé sur le mètre, ce n’est pas le 1/4 du méridien terrestre mais la mesure c’est faite sur le 1/4 du méridien terrestre, Talleyrand à proposé le mètre comme étant 1/10 000 000 du quart du méridien terrestre..
Quand même
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@Heron
"du point de vu de l’archéologie les Incas ne sont pas censés connaître la section dorée et les constantes pi, fi, inverse du nombre d’or."Pourquoi donc ne seraient-il pas censés la connaître ? Est-ce qu’on a retrouvé un document inca dans lequel un académicien inca affirme qu’aucun Inca ne connaît la section dorée ?
"le problème c’est que ces connaissances sont exprimées à travers des étalons de mesures comme le mètre ou le yard mégalithique, comme dans la grande pyramide de gizeh par exemple"
Je n’ai jamais trouvé d’information qui me conduise à penser ça, bien que cette idée ne me dérange absolument pas. Là, ça pourrait fort bien être des coïncidences qu’on finit par trouver à force de les chercher (contrairement à la récurrence de la section dorée pour laquelle la coïncidence hasardeuse est hautement improbable).
"Jusque là, la théorie des castors (qui bâtissent de la même manière) était la dernière ligne de défense des Archéologues pour justifier cette encombrante particularité, sauf que les travaux de Leplat ou Crowhusrt, montrent que les bâtisseurs utilisés les mêmes étalons de mesures, et là s’en est tout simplement fini de la théorie des castors ! "
Pourquoi donc ? Tous les castors du monde qui construisent de la même manière utilisent aussi probablement les mêmes étalons de mesure (la longueur de leurs incisives ). Peut-être que les hommes, autant que les castors ou les abeilles, sont capables de disposer génétiquement de compétences communes ou bien de se les transmettre à distance. .
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@Heron
"Je me suis mal exprimé sur le mètre, ce n’est pas le 1/4 du méridien terrestre."Heureusement pour nous.
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Je complète mon propos : Peut-être que les hommes, autant que les castors ou les abeilles, sont capables de disposer génétiquement de compétences communes ET DE CRITERES COMMUNS innés ou bien de se les transmettre à distance.
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@Heron
Par curiosité j’ai tapé 1618m sur google.C’est incroyable le nombre de cols et de montagnes qui ont cette altitude.
Vos grands anciens ou extraterrestres ne se seraient pas intéressé à la géomophologie par hazard ?
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@Belenos :"Je n’ai jamais trouvé d’information qui me conduise à penser ça...ça pourrait fort bien être des coïncidences qu’on finit par trouver à force de les chercher"
Et bien si ce sujet t’intéresse, il est temps de t’instruire un peu sur cette thématique essentielle :
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@sls0 :"Par curiosité j’ai tapé 1618m...C’est incroyable le nombre de cols et de montagnes qui ont cette altitude"
C’est bien sls0, tu commences déjà à intégrer que les anciens Bâtisseurs utilisaient notamment l’unité métrique, tu progresses..
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@sls0
"Par curiosité j’ai tapé 1618m sur google.
C’est incroyable le nombre de cols et de montagnes qui ont cette altitude."
Ce qui prouve une nouvelle fois que la nature connait non seulement le nombre d’or, mais aussi le système métrique.
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@Ozi
Je ne vais pas me lire tout ça, car je ne trouve pas le sujet intéressant. Cela ne me dérange pas intellectuellement que les anciens constructeurs aient effectivement connu le mètre et cela ne me dérange pas non plus qu’il s’agisse de coïncidences. C’est vrai que la correspondance métrique de la chambre souterraine de Khephren est amusante. Mais les coïncidences existent. Même en comptabilité, on tombe parfois sur des nombres à forte connotations symboliques, qui ont des rapports avec l’objet du compte, c’est très intéressant. Je ne dis pas que cela n’a pas de sens, d’ailleurs, mais il faut le considérer dans une approche métaphorique impliquant une perspective interprétative plutôt qu’au premier degré. Voici par exemple le sourire du hasard : -
@Belenos
Il est intéressant de constater comment les premiers Egyptologues ont étudier les dimensions de la grande pyramides de Khéops au regard de la mesure de la terre (unité métrique, yard mégalithique, ect..) avant que leurs travaux ne soit littéralement occultés ----> http://messagedelanuitdestemps.org/index.php/2017/07/07/extrait-du-compte-rendu-de-la-campagne-degypte-tome-7-exposition-du-systeme-metrique-des-anciens-egyptiens/
Les artisans médièvaux qui restaurent les cathédrales et églises sont les premiers à constater l’emploi de la coudée royale dans les monuments ainsi qu’une mesure métrique valant 1/5 de mètre (20 cm) qui s’appelle l’empan.
Etude métrologique statistique qui montre que l’on retrouve sur les monuments d’avant le 18ème siècle, l’emploi en priorité du pied métrique (33,3 cm) et de la coudée royale Égyptienne en plus des mesures romaines ----> http://messagedelanuitdestemps.org/wp-content/uploads/2017/12/L%E2%80%99unite%CC%81-me%CC%81trique-cache%CC%81-dans-les-e%CC%81glises-Partie-1.pdf
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@Belenos :"Je ne vais pas me lire tout ça"
Alors tu restera dans la croyance qu’il s’agisse de coïncidences, le problème c’est que ce n’en est pas et en vérité cela pose des questions bien plus importantes encore que le poids, la taille, le transport ou l’ajustement de certains blocs sur de nombreux sites énigmatiques, les castors nous regardent quand même...
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@Ozi
Je ne crois rien de particulier en ce domaine ni en aucun autre domaine. Ce que j’ai lu (car j’ai quand même étudié la question) ne m’a jamais convaincu, tout simplement, alors même que je n’entretiens aucune hostilité à l’égard de cette hypothèse. En revanche, j’ai l’impression que les gens qui trouvent ce débat important (dans un sens ou dans l’autre) ont toujours quelque chose derrière la tête qui n’est pas franchement dit. Est-ce que l’enjeu véritable est la question d’une civilisation technologiquement avancée (capable de mesurer la planète) qui aurait précédé la plus lointaine antiquité, quelque chose comme comme l’Atlantide ? Si c’est ça, il faudrait le dire. Je n’ai d’ailleurs rien non plus contre cette hypothèse. Aucune hypothèse ne me dérange. -
@Belenos
Franchement le "qui" on s’en fout, c’est pour la fin de l’histoire ça...
A l’heure actuelle on ne peut que constater les faits, halluciner, s’émerveiller, s’interroger et peut être commencer à rassembler les pièces d’un puzzle étrange même si elles semblent, à première vue, très éloignées entre elles.
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@Ozi
Oui, je suis d’accord pour ramasser les pièces du puzzle (c’est le cas de le dire avec les murs incas !) mais sans forcer l’emboîtement à cause d’une idée préconçue, que ce soit dans un sens ou dans l’autre. -
Peut-être qu’une partie de la réponse tient tout simplement dans le constat que l’homme européen moderne (en gros depuis la Renaissance italienne) n’est pas le seul détenteur de l’intelligence humaine.
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@Belenos :"Peut-être qu’une partie de la réponse tient tout simplement dans le constat que l’homme européen moderne (en gros depuis la Renaissance italienne) n’est pas le seul détenteur de l’intelligence humaine. "
C’est évident ça, mais ce que traduit les travaux métrologiques exposés est juste déconcertant, que ce soit le Yard mégalithique, la Coudée de nippur ou le Mètre, ces trois mesures liées dans le temps, découlent d’une connaissance hallucinante de précison des dimensions de la terre identique à celle fournit par notre technologie actuelle.
Et cette connaissance c’est perpétuée (chez les sachant qui peut être ne savaient pas d’ailleurs) sur plusieurs millènaires et à travers les âges..
Qu’on le veuille ou non c’est un fait, et cela pose des questions considérablement intéressantes.
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@Ozi
"Qu’on le veuille ou non c’est un fait."Je ne trouve pas cela évident du tout au vu des arguments présentés. Et pourtant cela ne me dérangerait pas de supposer que ces connaissances apparemment anachroniques viennent d’une civilisation antérieure disparue qui avait la capacité de mesurer la terre (je suis indifférent devant cette dernière hypothèse : c’est peut-être vrai, peut-être faux).
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Une théorie intéressante expose que ces murs cyclopéens à angles irréguliers pourraient avoir été réalisés en fondant l’andésite et en la moulant sur place. Cela me parait encore plus vraisemblable comme théorie, dans la mesure où ces blocs semblent être enflés, boursouflés dans leur masse, suite peut-être à leur tassement lors du processus de refroidissement. Ils n’avaient pas de pétrole mais des idées !
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@Le Celte
Tout les murs cyclopéens à angles irréguliers ne sont pas en andésite, mais pour le savoir il faudrait pouvoir analyser leurs structures comme la fait le professeur Davidovits sur les blocs en formes de H sur le site de tiwanaku en Bolivie, et effectivement les premiers résultats posent question..
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@Le Celte
Tous les murs cyclopéens à angles irréguliers ne sont pas en andésite mais l’on sait que l’hypothèse de géopolymères en calcaire est tout a fait crédible, là il faudrait analysé la structure de ces murs en andésite comme la fait le professeur Davidovitz sur les blocs en forme de H sur le site de Tiwanaku, et les premiers résultats sont intéressants..
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@Heron
A quoi sert de faire des blocs de pierre, s’ils sont coulés ? Un coffrage irait plus vite. -
@La mouche du coche
Cela pourrait servir à éviter de tailler, soulever, transporter, ajuster avec précisions, des blocs qui pour certains pèsent plusieurs centaines de tonnes...
Où pour le cas des blocs en H à Tiwanaku, en faire en série..
Mais c’est juste une hypothèse.
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@Heron
C’est exact, mais on pourrait concevoir le même procédé pour d’autres roches, les fours de la période du cuivre pouvaient porter une température à + de 1100°, les fours de la période du bronze étant évidemment moins puissants, on peut se demander si la concordance des dates de température de fonte correspond à la période d’édification des murs (forcément postérieurs aux plus anciens vestiges de Paracas ou Chavin)Je connais les travaux de Davidovits sur les sites égyptiens, très intéressant effectivement, mais d’autres recherches sur les sites inca présenteraient le fameux procédé de fusion. Je vais tenter de retrouver ces travaux de je ne sais plus qui !
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@Le Celte :"on pourrait concevoir le même procédé pour d’autres roches,"
En fait tout dépend du type de roche, si on prend une des plus répandu pour les murs cyclopéens comme le granite par exemple, c’est à dire une roche plutonique riche en quartz, feldspath et micas (éléments qui n’ont pas la même densité ni résitance, ni point de fusion) cela devient vraiment difficile à concevoir..
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